L'emprise de l'Alpha

Chapitre Vingt-Six

Avant toute chose, je tiens à vous signaler que mon chapitre contiendra une grande partie non adaptée à un jeune public... Vous pouvez le sauter si jamais, vous ne serez pas perdus pour autant. Mais lire la fin peut être bien car on sent clairement un changement dans la relation Aliyah-Milan. Merci et bonne lecture ! 🔞🔥❤️

PS : retrouvez-moi sur insta pour parler, échanger, rire et en savoir plus sur la suite ! ❤️ @Queenvikwp

__________

Quand j'étais près de Milan, je passais par de très nombreuses sensations toutes plus intenses les unes que les autres... Tout était décuplé, comme si une drogue constante coulait dans mes veines. Comme si des papillons s'amusaient à faire des tours de montagnes russes dans mon ventre.

J'adorais ces ressentis que je souhaitais à chaque être vivant de ce monde.

Mais ce que mon Alpha me faisait découvrir ce soir, c'était encore bien plus puissant, bien plus addictif.

C'était comme si tout mon corps s'embrasait, comme si une délicieuse fièvre d'inconscience m'était montée à la tête sans prévenir, provoquant de doux frissons très agréables...

J'avais toujours imaginé ces scènes d'intimité à travers les romans d'amour que j'aimais lire, mais jamais, oh non jamais, je n'aurais ne serait-ce qu'envisagé de le vivre un jour, de le vivre cette nuit, avec un loup-garou diablement sexy.

Plaquée contre un arbre, totalement prise au piège entre ce dernier et le corps musclé et imposant de Milan, je fondais à travers ses deux émeraudes. A cet instant, il pouvait me demander ce qu'il voulait, ou même me faire tout ce qu'il désirait. J'étais à lui, j'étais une proie qu'il avait attrapée et domptée, j'étais tout simplement sous son contrôle.

Ses lèvres dévoraient désormais les miennes, les mordillant, les léchant, les provoquant... Il jouait avec mon désir, sachant que j'en voulais plus et qu'il me torturait en m'obligeant à attendre.

Sa colère se ressentait encore par sa manière d'enfoncer ses doigts dans ma peau et de m'embrasser sauvagement sans épargner la moindre parcelle de ma chair visible.

Nous étions dans une forêt en pleine nuit, et pourtant, la pénombre rendait ce moment intime et chaleureux.

Alors que mon bas ventre semblait s'être totalement éveillé, je réussis à attraper mon haut pour le retirer et le balancer plus loin, m'exposant dénudée face à Milan.

Un sourire pervers se dessina sur son visage et il s'attaqua à ma poitrine en déplaçant mon soutien gorge qu'il ne se gêna pas à finalement retirer et jeter sur le sol, me dévoilant encore.

Je me sentais à la fois vulnérable et apaisée, mais aussi brûlante de fièvre grâce à la façon qu'il avait de me contempler.

Quand il attrapa l'un de mes tétons avec ses dents, je ne pus m'empêcher de gémir à haute voix, ce qui le poussa à continuer en le mordillant avec une délicatesse que je ne lui connaissais pas.

Mes mains s'agrippèrent sans douceur à ses cheveux bruns tandis qu'il descendait maintenant plus bas, embrassant mon ventre, puis arrivant au niveau de mon jeans qu'il détacha et descendit jusqu'à mes pieds, que je soulevai un par un pour me libérer de mon vêtement. Alors que je crus qu'il allait au moins me laisser un dernier bout de tissu, il en décida autrement en reproduisant le même geste avec mon tanga.

Il releva les yeux vers moi en balayant tout mon corps, me faisant entièrement frissonner. J'étais totalement nue dans une forêt devant cet homme que je repoussais encore quelques heures auparavant, alors que lui portait encore tous ses habits.