• alors que l'extinction de la race humaine était imminente, taehyung n'avait pas d'autre choix que de faire confiance à la pire ordure sur terre.
(âmes sensibles s'abstenir.)
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𝐨𝐧𝐜𝐞 𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐲, 𝐚𝐥𝐰𝐚𝐲𝐬 𝐚 𝐩𝐫𝐞𝐲.
En une semaine, Taehyung s'était énormément rapproché de sa nouvelle amie et colocataire. Tous les deux avaient de nombreux points communs, et pas juste sur les aspects de leur vie macabre. Il avait aussi été récompensé par Seokjin pour tous ses efforts, le plus vieux le couvrait d'affection jour et nuit, et le jeune homme appréciait plus que tout cette soudaine attention. Le brun avait toujours été celui qui veillait sur les autres, le contraire était plutôt rafraîchissant.
Mais malgré tout, il se sentait toujours pas à sa place ici. Tandis que Taehee et lui s'affectaient à nettoyer les différentes pièces du bâtiment chaque matin, il surprenait souvent Yoon, le garde un peu trop agressif, à le regarder intensément. Souvent, l'homme âgé le touchait sans retenue tout en ignorant ses insultes et plus le temps passait, plus il devenait envahissant. Rien que cela lui donnait envie de fuir loin, de quitter Séoul.
Taehyung le trouvait suspect, et ne pouvait se reposer une seule seconde quand il était dans les alentours. Il ne voulait pas découvrir ce qu'il était prêt à lui faire si il était endormi en sa présence. Le jeune homme était tout de même curieux, des fois Yoon rejoignait son collègue ainsi que Seokjin dans une pièce reculée de l'étage qui leur était formellement interdite. Il avait souvent questionné son amie à ce propos, mais elle n'en savait pas plus que lui.
Il détestait qu'on lui cache des choses mais sa nouvelle amitié l'empêchait de quitter ce groupe qui le rendait si fébrile.
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Jungkook fit glisser son couteau le long du mur, s'arrêtant juste en face du visage de sa victime. Celle-ci tremblotait et le suppliait si misérablement pour qu'il la laisse en vie.
Le noiraud se mit à rire à gorge déployée quand un de ses hommes se mit à imiter les bégaiements du jeune homme, l'empathie étant l'une des émotions qui avaient quittés son être il y a bien longtemps.
"Pourquoi devrais-je te laisser en vie?" Il pressa son arme blanche contre sa joue, perçant la chair du garçon et faisant ruisseler son sang le long de son visage ainsi que son cou. Le petit brun ne pu répondre sous la douleur, hurlant à la mort pour que son assaillant le laisse en paix. "Aucune proie ne peut survivre ici, aucune."
