"C'était assez long,mais nous sommes là."

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ALOÏS.

New York,11 : 34.

X : « Bonjour monsieur,votre père souhaite vous voir

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X : « Bonjour monsieur,votre père souhaite vous voir.»

Il vient sérieusement me cueillir à l'aéroport? C'est une putain de blague. Je fais demi tour,hors de question de monter dans cette voiture. Je suis pas venu pour lui,alors qu'il reste en dehors de mes affaires.

Je monte dans le premier taxi que je trouve. Pour une fois que j'ai pas demander à mon chauffeur de venir,il a fallut qu'il m'arrive cette couille. Je sais très bien que le chauffeur de mon père va me suivre. Il sait où me trouver,si il veut venir alors il viendra.

Aloïs : « Vous pouvez me déposez là s'il vous plaît? Garder la monnaie.»

Je descends immédiatement,et bien je vais prendre le métro aujourd'hui. J'ai horreur de ce transport en commun. Ce retrouver coller les uns aux autres,t'es pas à l'abris d'une agression sexuelle ni d'un quiproquo.

Je viens souvent à New York,le business m'y oblige. Aujourd'hui,je rencontre un acteur que l'agence vient de dégoter. Toutes les productions le veulent,et c'est chez moi qu'il est. Je suis surtout là car prochainement,notre prochain film sortira au cinéma. Je peux pas me permettre de rester à Paris,même si j'en avais envie.

Voilà que mes pensés vont toutes vers elle,je ne sais pas si elle est partit de la maison. J'ai lui a dis qu'elle pouvait y rester tant qu'elle le voulait. En partant ce matin,je dois avouer que j'ai eu du mal à m'en aller. La voir là dans mon lit complètement endormit m'a mit le sourire aux lèvres.

X : « Bonjour monsieur s'exclame Marie

Aloïs : « Bonjour,merci d'être venu me chercher.»

Je grimpe dans la voiture garée tout près du métro new-yorkais. New-York est une ville très fascinante,j'aime beaucoup venir ici. J'y ai vécu pendant un long moment. C'est la maison.

Je suppose qu'en arrivant à mon bureau mon père serait déjà là,près à me faire un discours sur le respect. Et puis il me parlera de mariage,d'engagement alors que moi c'est le denier de mes soucis. C'est incroyable qu'à trente-ans ton paternel soit toujours derrière ton cul. Tout ça parce que t'es le seul fils et que ta seule sœur,la fierté de la famille à fini dans un centre de désintoxication.

Tu m'étonnes que tout repose sur moi,depuis des années maintenant je lutte contre lui,j'espère jusque qu'il va arrêter avec toutes ses idées sordide. Marie ce gare,je descends et me dirige vers le grand immeuble face à moi.

Clones.Where stories live. Discover now