❥ Chapitre 24

210 24 2
                                    

HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LES DROITS D'AUTEUR. TOUT PLAGIAT, REPRISES D'IDÉES SANS EN INFORMER L'AUTEURE, SERA SANCTIONNÉ PAR LA LOI (articles L335-2 et L335-3 du Code de la propriété intellectuelle : trois ans d'emprisonnement et 300 000 euros d'amende). Les quelques fautes que vous rencontrerez sont laissées exprès pour éviter toute reproduction copiée/collée⚠️

- - - - - PDV Eerika - - - - -

C'est une odeur alléchante venan titiller mes narines qui m'extraie de mon sommeil. De la brioche chaude ! Je me lève comme si je venais de me piquer, m'étirant comme un chat. J'entends un léger ricanement, tournant la tête vers la provenance de ce con rauque. J'écarquille les yeux lorsque je vois Jarod assis sur le rebord du canapé, un plateau en main, fumant de viennoiseries chaudes. J'agrippe aussitôt la couverture qui me couvrait pour cacher ma lingerie, je suis presque nue. Même s'il a déjà parcouru la moitié de mon corps de ses doigts hier soir, je reste pudique. Et ses beaux yeux n'ont pas une seule fois fixés une autre partie anatomique que mon visage. Cet homme est respectable en tout point, il doit être né au pôle Nord, je ne vois pas d'autres explications !

Jarod : - Je n'ai jamais vu quelqu'un réagir aussi vivement à de la nourriture... On a faim ?

Je souris à sa réplique, baissant la tête lorsque les évènements de la veille me reviennent en tête. Il m'a laissée là, pantoise et frustrée, après m'avoir embrassée comme aucun homme ne l'avait fait. J'ai eu du mal à trouver le sommeil et à calmer le feu ardent qui brûlait dans mes entrailles. Je n'avais qu'une envie : monter le rejoindre pour temriner ce qu'on avait commencé. Mais ma raison et ma fatigue ont pris le dessus, j'ai fini par me retrouver dans les bras de Morphée, et pas d'un beau militaire sexy. Oui, je l'avoue, j'ai du mal à résister à son charme à présent.

Eerika : - Oui, un peu... Mais, tu as réussi à cuisiner ?

Jarod : - Oula, non, pas du tout. Je suis allé courir et je me suis arrêté à la boulangerie du coin. Je t'aurais servi du pain carbonisé, sinon. 

Il dépose le plateau à mes côtés, mon estomac crie famine tellement fort que je jurerais que les murs de la maison se sont mis à trembler ! Je tends la main pour attraper une brioche dans laquelle je croque. Je me délecte de ces saveurs excquises, il n'y a rien de mieux qu'une vioennoiserie chaude pour bien commencer la journée !

Eerika : - Merci. Jarod, pour hier soir, je...

Jarod : - J'allais y venir. Surtout, ne le prends pas mal. Ca n'a rien à voir avec toi ou quoi que ce soit. Tu es magnifique, n'en doute pas, et crois-moi, j'ai eu du mal à me maîtriser. Mais je ne voulais pas que tu penses que je profitais littéralement de la situation. Je t'ai invité à dormir pour que tu n'aies pas à sortir seule le soir et pour être certain que tu te reposes convenablement. Cette réaction n'était pas digne d'un gentleman, et je m'en excuse profondément.

S'il voulait encore plus faire fondre le guimauve qui me sert de coeur, c'est réussi. Valterri doit être en train de rire devant sa boule de cristal. J'ai fini par succomber bien rapidement au charme de Jarod, un coup de foudre ne se prévoie pas et c'est spécifiquement cela qui m'est arrivé. Boum. D'un coup. Sans que qui que ce soit ne l'ait prédit. 

Eerika : - Je n'avais pas l'air d'être forcée de quoi que ce soit, hein... Je suis désolée à mon tour, je n'ai pas pensé une seule fois à ce que tu pouvais ressentir. Après tout, c'était votre maison ici et...

Jarod : - Non, je t'arrête tout de suite ! Ce n'est pas le lieu, le souci.

Eerika : - Tu penses encore à Aada et c'est normal.

❥ Jarod (Is It Love ?) : Sous les flocons de NoëlOù les histoires vivent. Découvrez maintenant