Chapitre 65.

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- Tu m'en veux encore ? Demanda Sebastian.

- Non. Te voir en train de te faire engueuler par Ciel a suffit à me détendre.

- Tu aimes voir Ciel m'engueuler ?

- Oui. Dis-je en riant.

Il me lança un regard effrayant.

- J'ai dis ça pour rire ! Dis-je.

- Ne t'en fait pas, je ne t'en veux pas. Je comprends que sa t'ai énervée.

- Ah bon ?

- Oui...

- De toute façon maintenant c'est trop tard. On sort ensemble.

- Vous sortez ensemble ?

- Oui.

Nous arrêtâmes la discussion ici et allâmes ensuite en classe. Ciel ne fût pas là pendant le cours, et je ne fis que de penser à lui. À la fin du cours, je demanda au professeur si je pouvais partir directement et il me laissa faire. J'allais directement à la chambre de Ciel mais il n'y était pas non plus. Je le cherchais partout dans le lycée, en vain. Il avait totalement disparu. Tom m'aidais mais il ne le trouva pas non plus. Je retourna à la salle des professeurs pour demander à Sebastian.

- Où est Ciel ? Demandais-je.

- Cela ne vous regarde pas, Mademoiselle Commère. Dit-il.

- Comment ça, sa ne me regarde pas ? Dit-le moi !

- Il est allez régler un problème, même s'il ne risque pas d'y arriver.

- Qu'est ce que tu veux dire ?

- Je n'ai pas le droit de t'en parler.

- Tu m'énerves !

Je sortis de la salle, furieuse.

- Vous allez bien ? Demanda Tom.

- Très bien. Dis-je. Maintenant laisse moi tranquille.

Je sortit du lycée. Et alla m'asseoir sur un banc.

- Salut. M'appela une voix quelques minutes plus tard.

- Qu'est ce que tu veux, Aloïs ? Demandais-je.

- Oh, rien de spécial.

- Dit moi ce que Ciel me cache. Je te croirais.

- Tu es énervée alors même si je te le dis maintenant, tu ne me croiras pas.

- Je te croirais !

- Ce n'est pas la peine d'insister. Tu ne me croiras pas. Tu es beaucoup trop proche de Ciel pour sa.

- Je vois, vous avez tous décidé de m'énerver aujourd'hui. Dis-je avant de partir.

J'allais à ma chambre. Au bout de quelques dizaines de minutes, Ciel frappa à porte. En voyant que c'était lui qui avait frappé, je referma aussitôt la porte. Il la rouvrit et dit :

- Qu'est ce qu'il y a ?

- Rien donc laisse moi.

- Pourquoi ?

- J'ai pas envie de te voir.

- Pourtant, on m'a dit que tu m'as cherché partout.

Mon histoire d'amour avec Ciel PhantomhiveDonde viven las historias. Descúbrelo ahora