Épilogue

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C'est avec un cœur lourd que je termine cette histoire.  J'ai été ravie de partager ma première œuvre avec vous.  À vrai dire je n'ai pas de tout envie de terminer l'histoire pourtant il le faut. 

Merci à vous pour votre soutien et vos commentaires qui m'ont beaucoup aidé à avancer dans l'écriture de ce livre.  😊❤

J'ai décidé d'écrire un livre sur Nouria et bientôt il sera disponible sur mon profil. N'hésitez pas à aller le lire, voter et commenter. Vous verrez la couverture dès ce soir. Je pense bien que l'histoire sera disponible à partir du lundi si Dieu le veut 🙏

Merci infiniment à  DiamondMusic7 pour son soutien et aussi à vous mes lectrices.

Je vous aime mes fraises pimentées 😘❤ et n'oubliez pas de vous abonner pour celles qui ne l'ont pas encore fait😊











Cinq ans plus tard :

Lyah observait  sa fille qui dormait paisiblement dans son berceau.  Aujourd'hui elle était là femme la plus heureuse du monde. Son mari la rendait plus heureuse chaque jour. 
Elle fit une bise à sa fille et se dirigea dans la salle de bain.  Elle se déshabilla et entra dans la douche.  Elle savourait l'eau froide sur son corps avant de sentir deux mains saisies sa taille.  Ce n'était personne d'autre que l'homme qu'elle aimait plus que tout au monde.

- Tu prends ta douche sans moi dit Aboubak derrière elle. Lyah souria de pleine dents

- Vous êtes rentré plutôt que prévu votre altesse

- Il me tardait de vous voir ma chère et tendre épouse  répondit Aboubak la tournant pour qu'elle soit collée à son torse.

- Dois-je me sentir  heureuse ?

- Oui madame Al Zohra  sursura-t-il avant de prendre ses lèvres. 
Cela faisait deux jours qu'il était parti en voyage d'affaire il devait normalement venir dans cinq jours mais il ne supportait pas d'être loin de sa femme et ses enfants.

- Maintenant que vous avez fini de m'embrasser pourriez-vous me laisser prendre mon bain ?

- Non. Je veux faire l'amour à ma femme.

- Lorsque j'aurai fini je m'occuperai de vous.  À présent vous pouvez sortir.

- Je ne sortirai pas avant t'avoir fait l'amour Habibti.
Joignant l'acte à la parole Aboubak souleva la jeune femme et se glissa lentement en elle.

On entendait plus que les gémissements de Lyah et les grognements du sultan.

~~
Aboubak était assit sur le lit à travailler sur son ordinateur mais n'était pas réellement entrain de travailler . Il observait sa femme haleter leur petite princesse . La petite Sumaya ressemblait à sa mère on aurait dit Lyah quand elle était petite mais avec une autre couleur de peau.  Aboubak aimait ses enfants et chaque jour il les couvrait de cadeaux.

- Ça va ? La vue te plaît ? Demanda Lyah lorsqu'elle vit les yeux de son mari poser sur ses seins.  Cela faisait plus de cinq minutes qu'elle avait fait couché leur fille sur leur lit.

- La plus belle vue au monde  répondit Aboubak sourire aux lèvres.
Au même instant les deux tornades fit leur entrée dans la chambre.

- Papa Aboubak a encore frappé le fils du jardinier dit Leila qui venait vers lui

- Aboubak pourquoi as-tu fait cela ? Demanda Lyah

- Il regardait Leila.

- Ce n'est pas une raison de le frapper.

- Maman il me regardait danser.

Aboubak observait son fils longuement.  Il lui ressemblait comme deux gouttes d'eau.  Un frère protecteur comme lui.

- Je n'aime pas quand on regarde ma sœur  dit-il sur une mine boudeuse 

- Il ne faisait rien de grave mon chéri.  Ta sœur s'est dansée c'est normal qu'on la regarde.

- Je suis fier de toi mon garçon dit Aboubak  sourire aux lèvres sachant que sa femme n'était pas de cet avis. Elle le foudroya du regard mais Aboubak se fichait de cela. Son sourire retomba lorsqu'il vit que sa fille également le regardait de la même manière que sa mère.
Il faut qu'il se rattrape sinon ces deux femmes allaient sûrement lui fait passer un sale quart d'heure pensa Aboubak.

- Viens là mon grand. Il était le seul que son fils écoutait et tous le savait.  Son fils avait tout prit de lui  même son caractère  et Aboubak ne put qu'être fier de cela.
Il vint vers son père et prit place sur ses pieds.

- Je suis heureux de savoir que tu prennes soin de ta sœur mais je ne veux pas que tu frappe toute les personnes qui veulent être ami avec ta sœur.  Si tu vois un garçon embêté ta sœur règle lui son compte et si tu ne peux pas le faire viens me voir. 

- Aboubak ! Papa ! L'appella respectivement Lyah et Leila
Il sourit face à leur mine.

- Tout le monde ne veut pas faire de mal à ta sœur  mon grand. Tu pourras intervenir que lorsque ça sera grave. Je ne veux pas que tu sois violent.

Comme si les paroles de son père étaient une évangile le petit garçon acquiesça.

- Je suis un Al Zohra et nous les Al Zohra ne sommes pas violent nous semons la paix,l'amour, le pardon autour de nous!  Déclara le petit Aboubak

- Qu'Allah bénisse la famille Al Zohra ! Ajouta sa sœur.

Lyah était heureuse de voir tant de bonheur dans sa famille.

Qui l'aurait cru elle la jeune fille menacé de mort qui a fui son pays, abandonné ses biens pour sauver sa famille ; elle qui ne croyait pas en l'amour, elle qui avait perdue espoir d'être un jour heureuse  aujourd'hui est l'élue du sultan d'Oran...

- Je t'aime Aboubak Al Zohra

- Je t'aime aussi ma douce et tendre élue et je passerai le reste de ma vie à te le montrer.

- Toute une vie ne servira pas à démontrer mon amour pour toi chéri... je t'aimerai jusqu'à l'éternité

J'avais un coeur de pierre tu les as transformés en grain de sable...

L'élue Du Sultan : La Passion D'Aboubak Al ZohraWhere stories live. Discover now