L'élue Du Sultan : La Passion D'Aboubak Al Zohra

Chapitre 16

Coucou les filles voilà un nouveau chapitre pour vous j'espère qu'il vous plaira😊

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-Oui c'était une bonne reine. Affirma Lyah

- Ce n'est pas facil de sacrifier son propre sang.

- Oh mais on ne sait pas si c'était son véritable enfant.

- À bon?

- On ne mentionne pas le nom de son mari. Ma grand-mère m'a dit que l'enfant lui avait été donné par les esprit.

- Sans doute ils savaient que cet évènement aurai lieu.

- Sûrement.

- En tout cas j'admire le courage de cette reine.

Lyah se demandait si elle serait capable de sacrifier son enfant.

- Bon je crois qu'il est temps d'aller se coucher. Dit Aboubak en se levant.

- Oui je crois. Merci pour la balade.

- Pas de quoi. Je l'ai fait naturellement. Je ne voulais pas que tu te sentes prisonnière.

Si elle était une prisonnière pensa-t-elle. Elle n'avait pas le droit de sortir du palais.

Elle préféra ne pas repondre et de garder cela pour elle seule.
Chaque jour qui passe elle ne fait que souffrir. Sa vie se résume à la souffrance.

- Lyah?

- Oui.

- Est-ce que ça va?

- Oui. Pourquoi?

- Je te trouve pensive.

- Je suis un peu fatiguée. En effet elle était fatiguée. La balade l'avait épuisé.

-Alors va te reposer.

- D'accord. Acquiesça-t-elle

Ils montèrent les marches tous les deux dans le silence jusqu'à l'étage. Arrivé dans le couloir,Aboubak lui prit la main sans savoir pourquoi. Elle fut surprise mais la chaleur de sa main lui procura un courant dans le corps. Un frisson qu'elle n'avait jamais ressentit de toute sa vie.
Soudain il la plaqua contre le mur du couloir et posa ses bras de chaque côté de sa tête et s'inclina de sorte que son visage soit face du sien. D'un mumure il lui dit:

- J'aimerai faire quelque chose de fou mais j'ai besoin de ta permission.

- Quelle chose? Demanda-t-elle le cœur battant à la chamade.

- J'aimerai t'embrasser Lyah.

Lyah resta statufier. Elle ne savait pas quoi repondre. L'homme en face d'elle était tellement beau qu'elle ne se souvenait pas avoir vu une personne dotée de cette beauté. Elle avait peur. Peur de tomber amoureuse de lui. Peur qu'il se joue d'elle. Mais sans savoir pourquoi elle lui donna une reponse qui allait peut-être tout changer entre eux:

-Alors fais-le. Murmura-t-elle la respiration coupée

Sans attendre plus longtemps,il posa sa bouche contre la sienne. Lyah crû s'évanouir tant il embrassait bien. Elle avait du mal à suivre le rythme. Le baiser était doux et douloureux à la fois.
Aboubak n'arrivait plus à se contrôler. Les lèvres de la jeune femme était tellement douces qu'il crû mourir entre celles-ci. Elle n'avait pas d'espérience il s'en est douté lorsqu'il avait posé ses lèvres sur les siennes. Ses lèvres avaient un goût sucré. Il ne voulait pas s'en détacher mais fallait qu'il le fasse. C'est à contrecœur qu'il se détacha de ses lèvres. Il observa la jeune femme qui tremblait. Elle était divinement belle.

- Lyah...

- S'il te plaît ne dit rien. Le suplia-t-elle

- Je voulais juste te dire que j'ai adoré t'embrasser.

Elle ne disait rien. Elle ne faisait que le regarder.

- Je...

Il posa son doigt sur ses magnifique lèves.

- Chuuut. Ne dit rien. Va te coucher demain nous parlerons.

- C'est d'accord. Acquiesça-t-elle

Elle ouvrit la porte de sa chambre et y entre. Le sultan se tenait en face de la chambre.

- Bonne nuit Lyah

- Bonne nuit Aboubak.

Sur ces mots,elle ferma la porte de sa chambre le laissant arrêter dans le couloir. Lyah savait que desormais plus rien ne sera comme avant.