Chapitre 27

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Coucou les filles je tiens à m'excuser pour mon absence.
Je vous aime💚..

Bonne lecture!







Une fois arrivée dans sa chambre, Lyah se mit au lit. Elle pensait à demain. Aboubak avait decidé de célébrer le mariage en une semaine. C'était rapide car selon ce qu'elle avait apprit sur les cultures de ce pays, le mariage se célèbre un an après les fiançailles mais Aboubak en avait decidé autrement.

Son téléphone vibra mettant fin à ses pensées. Elle prit le téléphone et le lu le message qu'elle venait de recevoir. C'était Aboubak.

J'ai une surprise pour toi demain. Soit prête pour la surprise habibti. Bonne nuit.

Elle reposa le téléphone et pensa à la surprise que lui reservait Aboubak.

Dans la chambre d'en face, Aboubak était sous la douche à repenser à toute les promesses qu'il avait fait à Lyah. Le plus difficil serai de conquérir son cœur. Il avait le sentiment que quelque chose empêchait Lyah d'ouvrir son cœur. Comme si elle redoutait quelque chose. Il se promit de tout faire pour le découvrir. En attendant,il fallait qu'il s'occupe de la surprise qu'il avait préparé pour elle.
Il sortit de la douche serviette enroulée à la hanche. Il prit son téléphone pour appeller l'ami de son père qui aujourd'hui est son bras droit et son ami.

- Allô ?

- Votre altesse repondit Jafar à l'autre bout du téléphone.

- La surprise est-elle prête ?

- Oui votre altesse. Tout est comme vous l'aviez demandé.

- Très bien. Merci mon ami.

- Je le fais naturellement. Vous êtes le fils de mon ami

Jafar était l'homme le plus sage qu'il a connu.

- Je le sais et maintenant tu es mon ami. Je remercie Allah de t'avoir mit sur notre chemin.

- Moi de même. Qu'Allah vous accorde la grâce d'être un jour heureux.

- Amine. Dit-il en fermant les yeux.
Une seule personne pouvait le rendre heureux et cette personne était la jeune ivoirienne qui en ce moment est dans la chambre d'en face.

- Tu crois que je pourrai la rendre heureuse ? Demanda-t-il à son ami.

- Oui votre altesse. Lyah est la femme qu'il vous faut.

- Te. Rectifia-t-il. Là j'ai besoin d'un ami Jafar et tu es le seule.

- C'est d'accord.

- Elle m'est tellement vitale Jafar.

- Je le sais. Et je suis content qu'une personne est pu arriver à toucher votre cœur. Oran n'attendait plus que ça. Voir leur sultan heureux.

- Je suis touché par tes paroles mon ami neanmoins je ne peux m'empêcher de penser qu'elle patira un jour.

- Vous êtes tombé amoureux d'elle n'est-ce pas ?

Amoureux ? Aboubak n'y croyait pas. Il était certes attaché à elle mais cela ne signifie pas qu'il soit amoureux d'elle.

Ou si ? Il ne le savait pas. Lyah lui procurait tellement de bien. Il aimait sa compagnie. En fait il aimait tout chez elle.

- Je ne sais pas mon ami. Souffla-t-il.

- Moi je sais. Tu es amoureux d'elle mais tu refuse de l'admettre. Ne la laisse pas t'echapper sinon tu risque de le regretter.

Et si Jafar avait raison ? Il ne veut pas la perdre. Alors il mettra tout en œuvre pour la conquérir. Ils seront le meilleur couple.

L'élue Du Sultan : La Passion D'Aboubak Al ZohraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant