L'élue Du Sultan : La Passion D'Aboubak Al Zohra

Chapitre 18

Coucou les filles! Desolée pour les fautes j'ai un souci avec mon téléphone
😭😭😭😭😭

Merci pour votre compréhension

C'est dans un silence total qu'ils avaient dîné. Après le dîner,Lyah était monté dans sa chambre sans adressé un mot au sultan.

Le lendemain, elle décida d'aller à la cuisine aider Aïsha. Lorsqu'elle entra dans la cuisine elle trouva Jafar et Aïsha entrain de discuter.

- Mon enfant, vous avez besoin de quelque chose ? Demanda Aïsha

- Je n'ai besoin de rien. Je voulais juste vous aider en cuisine mais comme vous êtes occupé je passerai plus tard. Elle était sur le point de se retourner avant que Aïsha ne lui demande de rester.

Ils étaient trois dans la cuisine et leur conversation fut intéressante. Ils parlaient de tout et de rien. Jafar ,l'homme sage n'a pas manqué de lui parler du sultan.

- Votre altesse vous traite-t-il bien mon enfant ?

- Oui. Repondit-elle tout simplement.

- Vous savez, Aboubak à peut-être l'air d'un homme sans cœur à cause de son physique mais en vrai il a un très grand cœur. Dit Jafar en buvant son thé

- Oui Jafar a raison. Grâce à votre altesse tout le personnels est heureux. Il a sauvé plusieurs personnes de la pauvrété. Ajouta Aïsha. Sans lui,mon époux et moi étions à la rue.

- Oui ma femme dit vrai.

Lyah fut étonné ainsi donc Aïsha était l'épouse du bras droit du sultan ?

- Je...vous... Elle ne savait plus quoi dire.

- Oui Mon enfant Aïsha est mon épouse.

- Je ne le savais pas. Dit Lyah encore étonné

- J'ai bien remarqué ça. Dit Jafar en  souriant

- Remarquer quoi ? Fit une voix derrière eux.

C'était Aboubak. Il était vêtu d'un simple boubou blanc toujours avec son regard dur.

- Oh rien d'important votre altesse. Dit Aïsha en se levant.

Il tourna les yeux vers sa belle ivoirienne. Elle aussi le fixait dans les yeux. Ils restèrent ainsi jusqu'à ce que Jafar ne se racle la gorge pour y mettre fin.

- Alors,débuta Aboubak de quoi vous parliez?

- On parlait de Jafar et moi votre altesse. Répondit Aïsha.

- Je vois. Dit-il tout simplement. Lyah?

- Oui ?

- Es-tu occupée demain?

- Non. Pourquoi?

- Il y aura une cérémonie demain et j'aimerai que tu sois présente. Ça ne sonnait pas comme une proposition mais plutôt comme un ordre.

- C'est un ordre ?

-  Peut-être.

Lyah savait qu'il la provoquait mais elle ne va pas tomber dans son jeu.

- D'accord votre grâce.

- Voilà qui est mieux. Dit Aboubak avec un sourire.

Ils étaient restés dans la cuisine à discuter pendant deux heures.
Après le depart du sultan et de son bras droit, Lyah était restée dans la cuisine avec Aïsha pour preparer le dîner.
Aïsha était aussi aimable que son époux.

C'est arrivé dans sa chambre qu'elle vit le message de Nouria. Elle ne viendra plus demain. Elle soupira et alla prendre son bain.
Quelque temps après,elle descendit dans la salle à manger pour rejoindre l'homme qui habitait ses pensées depuis leur premier baiser.

Ce soir il avait porté un boubou comme celui de l'après-midi mais de couleur différente.

Après que le dîner fut servir,ils mangèrent dans un silence sans se quitté du regard.

- La cérémonie de demain est annulée.

- D'accord.

- Lyah ?

- Oui ?

- Pourquoi m'évites-tu ?

- Je ne t'évite pas.

- Si tu m'évite. Est-ce à cause du baiser ?

- On ne devrait pas parler de ça. C'était une erreur.

- Moi je ne vois pas ça comme une erreur.

- Eh bien pas moi.

- Jure que tu n'as pas aimé ce baiser Lyah.

Elle ne savait quoi repondre. Elle avait aimé ce baiser. Elle avait même rêvé qu'il le refasse. Mais elle avait peur. Cet homme l'avait ménacé pour l'envoyer dans ce palais. Ils n'avaient rien en commun. Lui il était beau et c'était un sultan alors que elle n'est qu'une simple noire,une étrangère.

- Je...

- Tu vois,tu ne sais pas quoi dire.

- Laissons les choses ainsi. Dit-elle le cœur serré de douleux.

- Pourquoi ?

- Je ne veux pas souffrir. J'ai assez souffert comme ça dans ma vie.

- Je ne te ferai aucun mal Lyah. Dit-il en se levant pour la rejoindre.

- Je veux qu'on essaie.

- Non. Elle se leva et sortit de la salle à manger.

Aboubak savait qu'il sera difficil de gagner la confiance de Lyah mais il gardait l'espoir.