Chapitre 14

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Coucou les filles j'espère que vous allez bien?

Nouveau chapitre pour vous.

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Je vous aime mes fraises pimentées🍓🍓💚💚💕💕
Bisou😍😍








Lyah se réveilla difficilement. Elle se rappellait de ce qui c'était passé la nuit dernière.
Le sultan était couché en face d'elle. Il était venu la calmer la nuit dernière à cause de son couchemar et elle lui avait demandé de rester près d'elle.

Lyah observait l'homme en face d'elle et vit à quel point il était beau comme un Dieu lorsqu'il dormait.

Sans savoir pourquoi elle se rapprocha de lui pour lui caresser le visage.
Il était vraiment beau.
Soudain les yeux du sultan s'ouvrirent et Lyah eu peur.

- Desolée de vous avoir reveillé.

- Ce n'est pas grave. Dit-il en se levant. Avez-vous bien dormi?

- Oui. Merci et vous?

- Assez.

- Lyah dit-il d'une voix douce. Je sais que nous nous connaissons à peine mais vous pouvez me faire confiance. Je peux voir dans vos yeux de la tristesse. Jamais je ne vous ferez de mal croyez moi.

- J'ai du mal à faire confiance aux hommes. Surtout que vous m'aviez menacé.

- Je n'avais pas le choix. Il fallait que je trouve un moyen pour que vous restiez.

- Et pour vous la menace serai parfaite?.

- Oui. Affirma-t-il.

- Ça a marché!

- Je m'excuse de vous avoir obligé à accepter ma proposition

- Ce n'était pas une proposition mais un ordre! Plus encore, c'était une menace! Vociféra-t-elle.

Elle sortit du lit et alla s'enfermer dans la salle de bain.

- Lyah ouvrez s'il vous plaît. On doit parler.

Aboubak se sentait mal. Il voulait la laisser partir mais n'y arrivait pas. Sans savoir pourquoi, il se sentait bien en sa presence.

- Non!

- S'il vous plaît. La supplia-t-il.

Elle ne parlait pas. Il attendit pendant plusieurs minutes mais elle n'ouvrit pas. C'est lorsqu'il décida de sortir de la chambre qu'il entendit la porte s'ouvrir.

- Lyah...

- Je vous écoute.

Elle avait pleuré. Il le sut lorsqu'il la régarda dans  les yeux et qu'il vit que ces derniers  étaient rouges.

- Je tiens à m'excuser pour tout. Mon intention n'a jamais été de vous faire du mal.

Lyah vit de la sincérité dans ses yeux.
Il culpabilisait et elle le sentit dans sa voix.

- Mais il fallait à tout prix que je respecte la tradition de mes ancêtres. Je n'avais pas le choix.

- On a toujours le choix.

Aboubak savait qu'il avait le choix mais il ne voulait pas laisser cette beauté naturelle lui échapper.

- Peut-être.

- Je ne voulais pas de cette union.

- Je sais. Et maintenant vous en voulez?

Lyah ne savait pas quoi repondre au sultan. Sa raison lui demandait de dire non mais son esprit lui veut le contraire.
Elle se sentait en sécurité dans ce palais.
Elle avait crû aux paroles de l'homme en face d'elle. Il avait l'air sincère.

- Je ne sais pas.

- Rien n'est tard. On peut apprendre à se connaitre. Et le temps nous dira bien des choses. Êtes-vous d'accord pour que nous fassions connaissance?

Elle voulait le connaître,apprendre plus sur lui. Elle voulait croit en lui.

Mais la voix de son oncle lui vint à l'esprit.

" Tu ne seras jamais heureuse. Personne ne t'aimera. Tu es maudite"

Poussée par son instinct, elle donna une reponse qui changera sa vie. Et même si elle avait peur et qu'elle était un peu réticente, elle croyait en l'homme qui se tenait en face d'elle.
Son regard était sincère.
Elle ahana avant de repondre:

-  Oui monsieur Al Zohra je veux que nous fassions connaissance.

Aboubak était heureux de savoir que sa belle avait accepté qu'ils fassent connaissance.

- Merci de me faire confiance.

- Sachez monsieur Al Zohra que la confiance est comme un verre en cristal lorsqu'il se brise, on ne peut le réparer. Ne brisez pas ma confiance.

- Je vous promets de ne pas briser votre confiance.

- Bien.

- Plus de vouvoiement mademoiselle.

- C'est d'accord.

- Va te preparer nous sortirons ensemble après le petit dejeuner.

- Où est-ce qu'on va? Demanda-t-elle curieuse

- Faire une balade en ville.

- Hein!?

- Oui mademoiselle.

- Je...

- As-tu l'intention de contester?

Lyah regarda le regard du sultan et décida de jouer au jeu.

- Oui. Cela vous cause-t-il un problème monsieur Al Zohra? Dit-elle malicieusement.

- En effet,cela me cause un problème. Surtout que j'ai l'intention de vous y envoyer de force.

- Vraiment?

- Oui vraiment. Et s'il te plaît cesse le vouvoiement!

Lyah se mit à rire de bon cœur suivit par le sultan.

- C'est d'accord.

- Maintenant va t'apprêter.

- J'ai un...

- Lyah... La réprimenda-t-il

- Bon d'accord j'arrête. Dit-elle avec un sourire aux lèvres

L'élue Du Sultan : La Passion D'Aboubak Al ZohraWhere stories live. Discover now