L'élue Du Sultan : La Passion D'Aboubak Al Zohra

Chapitre 15

Coucou les filles! J'espère que vous allez bien? Je m'excuse pour mon absence.

Voilà un nouveau chapitre qui est assez long. J'espère qu'elle vous plaira.

Lisez,commentez et votez😊
Je vous aime mes fraises pimentées🍓💕💚.

Bonne lecture!

C'est dans une atmosphère détendue qu'ils firent leur balade.
Aboubak lui avait expliquer les cultures de son peuple.
Elle avait apprit beaucoup plus siur ce magnifique pays. Comme toujours,ce pays ne manquait pas de la fascinée.

Après la balade, elle avait demandé à Aboubak de faire un tour dans son ancienne maison pour prendre des affaires qu'elle avait laissé.

- Ta maison est vraiment magnifique.

- Merci. Je l'ai décoré avec mon amie.

- En parlant de ton amie, où est-elle j'aimerai faire sa connaissance.

- Nouria est la personne la plus mystérieuse au monde.

- Pourquoi dis-tu cela? Demanda Aboubak étonné

- Elle ne fait que disparaître et réapparaître.

- Vraiment?

- Oui. Et on ne sait jamais où elle va.

- Ton amie est vraiment mystérieuse.

L'instant d'après on toqua à la porte.
Lyah alla ouvrir et la personne qui se tenait devant la porte se jeta sur elle.

- Nouria tu m'as manqué!

- Oh Alex toi aussi! Dit-elle toute souriante.

- Où étais-tu passée?

- C'est une longue histoire.

Aboubak ne savait pas qui était ce jeune homme qui prenait Lyah dans ses bras,mais fut animer par une jalousie. Il aurai voulu être à la place du jeune homme.
Il se racla la gorge pour montrer sa présence. Les deux personnes se retournèrent pour lui faire face.

- Alex je te présente le sultan du peuple Oran.

Le jeune vint en face d'Aboubak pour faire la révérence.

- Mes salutations votre altesse.

Aboubak fit signe de la tête pour repondre et le jeune homme alla près de Lyah.

- Votre altesse,je vous présente Alex un ami du quartier.

Aboubak fut soulager de savoir que ce jeune homme était un ami à sa belle Lyah.

Sa belle Lyah pensa-t-il.
Cette jeune femme en face de lui était l'incarnation de la beauté africaine. Son sourire,son magnifique visage,ses courbes absolument tout était beau sur elle.

- Bon je te laisse avec ton invité Lyah j'ai du travail.

-Votre altesse, au plaisir de se revoir.
Sur ses mots il s'en alla en refermant la porte derrière lui.

- Je crois que j'ai prit ce qu'il faut.

-C'est d'accord. Allons-y.

C'est fatiguée que Lyah arriva au palais et monta dans chambre pour se reposer avant le dîner.

Après le dîner,ils alla dans un salon.
Le salon privé du sultan.

- Parle moi un peu de tes origines Lyah.

- Que veux-tu savoir de mes origines? Demanda-t-elle en s'installant sur le fauteuil.

- Tout. Repndit Aboubak.

- Je suis akan l'un des quatres groupe ethnique de la Côte d'ivoire. Le peuple akan est situé au sud,au centre et à l'est du pays. Mon père est du centre et ma mère de l'est. Il faut que tu sache qu'il y a deux types d'akan. Les akan lagunaire qui sont au sud et les akan ressent ou akan forestier qui sont au centre et à l'est.

- Donc tu es akan forestière. Conclut Aboubak.

- Oui. L'histoire des akan est beaucoup aimée dans le pays.

- Vraiment? Pourquoi?

- Grâce à la reine

- Eclaire moi s'il te plaît.

- Les akans sont originaire du Ghana. Le sacrifice qu'a fait la reine a marqué plusieurs personnes.

- Quelle sacrifice?

- À l'époque les akans vivaient dans un pleuple appellé "le peuple ashanti". Le peuple a été victime du cousin(si je ne me trompe pas) de la reine Abla Pokou qui voulait le gouverner. La sorcellerie était puissante. Le cousin envoutait les hommes de la reine. Les habitants étaient dans la souffrance. Voyant la souffrance de son peuple,la reine a décidé de laisser son royaume à son cousin. Mais elle avait prit tout son peuple avec elle.

- Il y avait d'autres solutions.

- Aucune solution. Son peuple et elle ont marché pendant des jours et des heures. Ils étaient poursuivit par les hommes de son cousin.
Arrivé devant un fleuve,les ashanti ne pouvaient plus avancer car le courent de l'eau était fort. L'esprit qui se trouvait dans l'eau a demandé un sacrifice. Le peuple avait donné tout l'or qu'il possédait. La reine l'a jeté dans l'eau mais malheureusement l'esprit a ramené toute la richesse du peuple. L'esprit voulais une chose que la reine aimait plus que tout au monde.

- Et c'était quoi? Demanda Aboubak de plus en plus intéressé par l'histoire.

- Son enfant. Repondit Lyah. La reine ne savait pas qui choisir entre son peuple et son unique enfant.
Sauvé son enfant et laisser les hommes de son cousin tuer son peuple.
Ou sacrifier son unique enfant et sauver son peuple.

- C'est un choix difficil.

- En effet,c'était un choix difficil. Confirma-t-elle.

- Quel était son choix?

- Elle a prit son enfant et l'a embrassé une dernière fois avant de le jeter dans le fleuve. L'eau s'est calmée et il y a eu des hippopotames qui étaient sortit de l'eau pour faire un pont. La reine laissa son peuple traverser le pont en premier. Après que son peuple est traversé le pont,elle le suivit et c'est lorsqu'elle posa les pieds sur la nouvelle terre,qu'elle dit des yeux larmoyants:
"Ba ouli" ce qui signifie "l'enfant est mort"

- D'où le peuple akan. Conclut Aboubak.

- Oui. Et c'est de là que vient le nom de l'un des ethnie akan qui est le Baoulé.

- Je présume que tu es Baoulé?

-Oui je suis Baoulé.

- C'était une bonne reine.