DANGEROUS BULLY

Chapitre 23

Adam

!! ATTENTION SCENE CHOQUANTE !!

Je vois sa fluette silhouette s'agiter sur place. Ses yeux me fixent, ronds comme des billes. Ils me supplient, et j'adore ça.

-Si tu le fais pas, c'est moi qui le fait.

Owen comprend alors sa sentence, il ne peut pas y échapper. De son bras chétif, il dénoue fébrilement son peignoir avant de le laisser tomber au sol. Mon sourire se fane instantanément. Les pupilles dilatées de mes yeux parcourent frénétiquement son corps, mon esprit ne sait plus où donner de la tête. Je décide de commencer par me concentrer sur ses jambes. Son collant et sa mini-jupe mettent en valeur la finesse de ses mollets et de ses cuisses, semblables à ceux d'une femme. Sa taille est fine, et son bustier dévoile ses clavicules apparentes et la blancheur de sa peau. Je finis par son visage, que j'aperçois à peine car ce dernier est plongé en direction du sol. Je vois qu'il fait tout pour m'éviter mais j'arrive à percevoir que ses joues ont virés au rouge. Les yeux clos, il attend patiemment son humiliation, le moment où je vais exploser de rire avant de le filmer sur les réseaux sociaux.

-Ca alors. Je comptais me foutre de toi mais t'es putain de bandant.

Je me lève du fauteuil en rangeant mon portable dans ma poche et m'approche de lui. Il a toujours le visage dirigé vers le sol mais ses yeux se sont rouverts. Je passe derrière lui pour me retrouver face à son dos. Je me rapproche jusqu'à ce que mes lèvres effleurent la peau de sa nuque. Je le sens se raidir pour mon plus grand bonheur. Je le scrute du regard des pieds jusqu'à la tête. Toujours derrière lui, Owen ne me voit pas mais il peut me sentir, cela semble le tétaniser. C'est une mauviette qui est effrayé à chaque fois qu'il me voit, mais cette après-midi il me parait particulièrement terrorisé, pour mon plus grand bonheur. Owen sursaute lorsque je soulève sa mini-jupe pour dévoiler son sous-vêtement. Il porte de la lingerie qui dévoile son postérieur qui est plus bombé que je ne l'aurai imaginé. Putain mais je pense à quoi, là ?

-Tu n'as pas honte de t'habiller comme ça pour un garçon ?

Je continue de soulever sa jupe en dévorant du regard son arrière-train. Sa peau semble horriblement douce. C'est plus fort que moi, ma main se dirige vers ses fesses et je finis par effleurer sa peau, pareille à de la soie. Owen sursaute à mon contact et tente de s'écarter mais je le bloque. Malgré qu'il se débatte, je lui retire ses lunettes avant de les déposer sur sa table de chevet. Du coin de l'œil, je peux le voir frémir. Je le pousse pour le faire tomber à la renverse sur son lit. Il n'a pas le temps de se relever, je saute sur lui et plaque ses poignets à chaque côté de sa tête. Je vois alors la panique et la peur se mélanger sur son visage. Il gesticule tant bien que mal sous le poids de mon corps mais je ne bouge pas pour autant. Je lui donne un coup de bassin pour le calmer et me rends compte à cet instant que je suis en érection. Je le retourne et soulève légèrement ses hanches pour frotter mon entrejambe contre son derrière.

-Non Adam, laisse-moi partir, je t'en supplie !

Je sens qu'il lui a fallu du courage pour prononcer cette phrase. Je me décolle légèrement pour pouvoir observer son visage. Il a l'air effrayé. Ses yeux remplis de larmes m'implorent d'arrêter, ce qui en réalité m'encourage à continuer.

-Regarde Owie dans quel état tu m'as mis. C'est à cause de toi, ça, dis-je en lui redonnant un violent coup de bassin. Qu'est-ce que tu comptes faire pour réparer ton erreur ?

Owen éclate en sanglot. Il semble encore plus apeuré que lorsque je le violente, je savoure chaque seconde de cet instant. Mes mouvements se font plus violents mais gardent la même cadence. Je soulève à nouveau sa jupe pour voir ses fesses s'écraser contre mon érection. Sans que je ne le veuille, un grognement digne d'une bête m'échappe. J'ai rarement été aussi excité, je crois même ne l'avoir jamais été. Seuls les pleurs d'Owen se font entendre. J'attrape ses fesses dans chacune de mes mains avant de les écarter. Je peux voir son entrée à travers le fin tissu de son sous-vêtement. Je n'ai jamais vu ça avant. Son entrée, comme tout le reste de son corps, est dépourvue de poils et ses chairs sont si roses qu'elles paraissent juteuses. Owen me donne un coup de pied pour m'écarter. Sans même que je m'en aperçoive, mes doigts n'étaient plus qu'à quelques millimètres de son entrée. Owen est sur le point de me redonner un coup mais je l'attrape par la cheville. Je suis surpris par sa finesse, je peux presque en faire le tour avec ma main. Je le ramène à sa place, contre mon entre-jambe. Je relève son postérieur et lui donne une fessée. Owen étouffe un hurlement dans son oreiller.