Bianchi Empire Tome 1

Chapitre 25 Enzo

Salut! Merci d'être de plus en plus nombreuses à me lire et à voter pour mes parties 💕. Petite dédicace ce soir pour les filles qui commentent 🥰. J'aime trop vous lire en plus vous êtes vraiment drôle mdr ! MERCI! Bonne lecture 🥀

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Je suis dans l'ascenseur avec Rosalia. Dés que je l'ai remarqué à la soirée je n'ai pas pu décrocher mon regard d'elle, comme au mariage. J'étais en train de me servir un verre quand j'ai vu ces salopes l'entourer. Bordel, depuis le lycée elles s'en prennent à elles, ça m'a énervé. Je suis intervenu sans m'en rendre compte. Je l'ai porté jusque dans l'ascenseur parce que je ne voulais pas qu'on s'en prenne à elle. Je connais ces gens, ils auraient trouvé cette excuse pour l'attaquer. Bon j'aurais jamais laisser faire ça, s'il y en a qui la touche je lui casse ses jambes.

Mais elle était en train de perdre le contrôle, ce n'était pas l'endroit ni le moment.

« Pourquoi t'as fait ça ? Me dit–elle en criant. Elle méritait ! Tu ne sais pas ce qu'elle m'a fait.

Je croise les bras, elle est en colère elle serre les poings, ses mains tremblent. Même comme ça elle est putain de belle.

-Je voulais pas que tu t'affiches, calme toi.

Elle me repousse, mais bon elle a très peu de force face à moi. Je ne bouge pas d'un centimètre.

-J'avais le droit de la frapper, j'avais le droit ! Me dit- elle en criant.

Elle fond en larmes. Mon cœur se serre, putain je ne supporte pas de la voir pleurer. Elle s'assoit au sol et pleure.

« J'en ai marre Enzo, je suis épuisée. C'est trop pour moi j'en peux plus... J'en ai marre ». me dit-elle.

Je comprends pas ce qu'il m'arrive mais j'ai cet instinct protecteur, comme un instinct animal au fond de moi quand je suis avec elle. Et grâce à elle je me souviens un peu du lycée. Et je me rends compte que c'est la troisième fois que je veux l'aider, la protéger. La première fois c'était au self, tout m'est revenu, je pouvais pas laisser faire ça, la deuxième fois en cours pour l'exposé et là ce soir.
Je m'approche et la relève, je la prends dans mes bras. Je mets une main autour de sa taille et contre son dos.

Nous sommes collés, elle pleure contre mon torse, j'aime trop son odeur. Je sens les battements de mon cœur accélérer, bordel, je ne comprends rien à l'effet qu'elle me fait. C'est tellement pas moi, je sais juste que je suis en colère qu'on l'a fasse pleurer. Je veux la protéger, l'entendre me provoquer, l'exaspérer, mais pas la voir pleurer.

Je la serre contre moi, c'est une sensation incroyable d'avoir une femme, non cette femme entre mes bras. Depuis le mariage j'ai pas arrêté de penser à elle. Par fierté je l'ai pas recontacté, malgré le fait que j'ai trouvé son numéro j'assume pas ce que je ressens.

Elle se calme petit à petit, puis s'éloigne de mes bras, je ne veux pas qu'elle s'éloigne, je veux la garder encore contre moi...

« Viens je te ramène, lui dis-je.

-Enzo, je, je ne veux pas rentrer chez moi... Je ne veux pas être seule ce soir... Reste avec moi, s'il te plaît.... »

Mon ventre se contracte, elle veut rester avec moi putain, ça ça m'excite bordel, dans tous les sens du terme. Cette partie de mon anatomie que je croyais morte, est à deux doigt de se réveiller, grâce à elle.

Elle cligne ses long cils, et baisse la tête gênée.

-Enfin je veux dire... Euh laisse tomber.

Je relève sa tête avec mon pouce. Je veux passer la nuit avec elle moi aussi.