Maïssa 《Merde, j'aime un arabe. 》 [ TERMINÉ ]

3.

Le lendemain.

7 : 03.

J'avais prié, Je m'étais douché et là j'avais finis de me maquiller puis de m'habiller.

Je me sentais super bien aujourd'hui j'avais de Good vibes ce qui était rare. Comme je m'étais levée tôt et que je ne commençais pas avant 9 heures, je rangea mes affaires puis sortit de la maison.

Quelques minutes de routes plus tard je suis devant un café, je me gare et descend de celui-ci, je comptais me prendre un réel petit déjeuner. J'ai claqué la portière puis je l'ai verrouillé. Après quoi, je me suis assise sur la terasse, t'avais du monde à l'intérieur et tout, la serveuse est venu j'ai commendé, un bon croissant, une assiette de salade de fruits, un pain au chocolat et un bon café crème. J'ai dut attendre 15 à 20  minutes avant que ma commende n'arrive.
je me suis bien tapé le petit déjeuner tout en vérifiant mes mails, mes messages via mon téléphone quand une ombre cache soudainement ce beau soleil qui me tapait. J'aime pas. J'ai relevé la tête et là, la crise cardiaque, un beau babtou est planté devant.

.. - Je peux m'assoir?

- Pourquoi pas, dis-je en me mettant bien dans la chaise.

.. - Il s'assied puis sourit. Sexy ... Je m'appelle Evans. Il dit tendant sa main.

- Maïssa, je la serre.

Evans - Votre prénom est aussi beau que votre visage... Il dit en lâchant ma main.

- Merci du compliments.

Evans - C'est sincère, je vous trouve magnifique en plus j'aime les femmes qui n'ont pas peur de manger ce qu'elles veulent.

- jhausse le sourcil. Ah oui ?

Evans - Exact, il dit en me regardant avec ses yeux bleus. Je peux avoir votre contact, pour pouvoir vous revoir.

- Pourquoi je devrais vous le donner ?

Evans - Parce que vous dégagez quelque chose qui m'attire.

- rires. Et vous l'avez sortit à combirn de femme ça?

Evans - A celle qui en valait la peine d'être complimenté.

Un jeux de regard s'installe, clairement il est mignon et j'aimerai bien le revoir, je prends un mouchoir je sors un stylo et lui note mon numéro de téléphone.

Evans - Merci. Il dit en prenant la feuille, au plaisir de vous revoir.

Il se lève, me fais un baise main avant de partir je suis le genre de femme qui déteste ça mais venant de lui je trouve ça mignon. Il est partit, il est monté à l'arrière d'une Maserati, portière qui lui a été ouverte je pense par un chauffeur, y'en a qui chaume pas. Rire. J'appelle le serveur, qui m'apporte l'addition, je la règle et lui laisse un pourboire avant de m'en aller.

-

09: 25.

Je gare ma voiture dans le parking puis rejoints vite mon bureau, les bouchons m'ont fais prendre vingt cinq minutes de retard, alors que je dois faire passer des entretiens aujourd'hui. Bref.
J'ouvre mon bureau, et pose mes affaires, j'allume la climatisation et sort les dossiers. Le premier arrive, déjà il sentait un peu l'alcool, mauvais point, assez mal habillé, et désagréable en plus. j'aime pas les mecs sexiste, il m'a sortit une phrase du genre Merde, je pensais que c'était un homme mon patron. Avec une femme y'a trop de travail, en plus elle va se sentir supérieur l'autre. Rire nerveux. Jamais je prends un type comme ça. Les secondes, les minutes et les heures défilent. Il était 10 heures 30 minutes le septième candidat allait entrer. Je tourne un peu la tête histoire de détendre mon cou, je me lève pour me préparer un café puis je reviens à ma place quelques minutes plus tard la tasse en main.

On toque à ma porte, je bois une gorgée du liquide puis  repose la tasse dans la sous tasse.

- Entrez! Dis-je en croisant mes bras sous mon menton.

La porte s'ouvre, sur un homme, un jeune homme. Il entre et me salut, je lui réponds pendant qu'il referme la porte j'ai même eu le temps d'admirer son fessier qui moulait dans son jeans, je constate aussi que son polo  laissait voir ses muscles puis quand il s'est retourné j'ai tiqué visiblement lui aussi. En une fraction de seconde son expression changea, son regard signifiait un truc du style Oh Putain je suis dans la merde.

Et d'un coup j'ai percuté avec des flashs du jour à la plage.

Ah ouais, Je me souviens c'est l'arabe qui m'a traité de bouffone puis de kehrloucha.