Maïssa 《Merde, j'aime un arabe. 》 [ TERMINÉ ]

66.

Bilel.

Maera s'est réveillée et pleurait, sûrement qu'elle avait faim, je la sors de la poussette, pour essayé de la calmer un peu, le temps que je puisse lui faire rapidement un bibi.

Maïssa - Elle a faim, donne la moi.

Je fronce les sourcils mais je lui obéit, et vous savez ce qu'elle a fait ?

Maïssa - Tu es si belle, ne pleure plus petite princesse.

Elle s'est assise pour lui donner le sein, vous connaissez combien de femme qui pourrait faire ça?

- Tu n'es pas o-

Maïssa - Tait toi s'il te plait. Elle a faim ce n'est qu'un bébé.

- Je t'aime tellement tu sais.

Elle n'a rien répondu, elle a finit de nourrir l'enfant puis lui a fais faire son rot. Je lui reprend Maera, et la met dans la poussette.

Maïssa - Comment elle s'appelle?

- Maera, Maera Soraya Anid.

Maïssa - Elle est vraiment belle.

- Merci.

Le bruit de la serrure nous fais retourner la tête, puis sa mère apparaît dans l'entrée avec un sac de course.

Maman - Désolé d'avoir été longue, il y avait les ---- Qu'es ce qu'il fait ici ?

Maïssa - Maman s'il te plait.

Maman - Maman s'il te plait quoi? En plus il ramène son enfant ? Et toi tu le laisse entrer.

- Tata je--

Maman - Je ne t'ai pas donné la parole donc tu te tais. Et toi ?

Elles ont commencés à parler dans leur langue, puis j'ai commencé à ranger les affaires de la petite.

Maman - Tchips. Je suis sur la terasse si tu me cherche.

- Attendez. Elle s'arrête. J'aime Maïssa de toutes mes forces, je suis réellement désolé de tout le mal que je lui ai infligé. J'avais mes raisons Tata, j'avais vraiment mes raisons.

Je prends un papier et un stylo pour noter mon numéro.

- Je pars dans une semaine, si tu as envie de me parler appel moi nous avons beaucoup à nous dire.

Je prends le sac de Maera, et pousse jusqu'à la sortie où je ferme la porte derrière moi.

Maïssa.

Je soupire et me rassoit dans le fauteuil quand ma mère vient répéter la même action que la mienne.

Maman - Maintenant il faut m'expliquer.

- C'était Soraya man, c'est elle qui m'a séparé de Bilel, qui m'as fait croire que Bilel ne voulait pas de Rayan.

Maman - ... Non je peux pas y croire.

- Si ! Je soupire. C'est pourtant vrai.

Maman - Bon, elle a fait ça mais ça n'empêche pas qu'il l'est épousé.

- Sa mère a menacé de me tuer si il n'épousait pas Soraya.

Maman - Seigneur Jésus!

- Maman, à cause de ces sorcières j'ai passé de long mois sans l'homme que j'aime. Dis-je avant d'éclater en sanglot.

Elle s'assied près de moi et essai de me réconforter, je sais pas mais je croyais Bilel, quelque chose au fond de moi me disais qu'il avait raison, mais et s'il avait menti ? Je réussi à me calmer, pour lui envoyer un message pour lui donner rendez sur une terasse, pas loin de chez.

Le lendemain vers 10 heures 30, je me suis apprêtée pour la rejoindre, j'ai nourris Rayan, et je l'ai laissé à ma mère.

Arrivé sur la terrasse, il était assit entrain de jouer Maera, ils sont tellement mignon ensemble. Quand il me voit arriver, il pose la petite sur ses genoux.

- Bonjour.

Bilel - Tu vas bien ?

Je hoche la tête et prend place en face de lui. Nous avons pris un petit déjeuné et il a reposé la petite dans sa poussette.

- Cette histoire est tellement inattendu, fin je ne sais pas comment peux tu me prouver que c'est vrai.

Il sort quelque chose de sa poche et c'est une clé usb.

Bilel - Quand tu seras à la maison, tu regardera la vidéo entièrement. Tu verras que je dis vrai Maïssa... si j'avais sut plutôt, tout ça ne se serrait jamais passé.

- Tu aurais divorcé? Il me regarde. Non je ne pense pas alors arrête s'il te plait.

Bilel - Mais je t'aime.

- Je t'aime aussi. Tellement si tu savais mais ta mère va essayé et toujours de me nuire alors à quoi bon?

Bilel - Tu ne vas pas épouser ma mère, mais moi. Je le regarde. Je ne te laisserai plus partir Maïssa. Je te promets.