Maïssa 《Merde, j'aime un arabe. 》 [ TERMINÉ ]

25.

Bilel 27 ans.

00 : 05.

On sonne depuis un bon moment, il est minuit merde. Je descends sans avoir rien porté, comme haut, c'est donc avec mon bas de pantalon et pieds nu que je me dirige vers la porte, yeux mis clos, cheveux en bataille. Je regarde même pas dans le judas, que j'ouvre et quelqu'un me saute au cou. La personne m'embrasse tendrement. Et j'ai reconnu les lèvres de Maïssa. Elle passait ses mains dans mes cheveux et y mettait une certaine force dans son baiser avant de me lâcher et me regarder droit dans les yeux.

- Qu'es ce que tu as?

Maïssa - Fait moi l'amour Bilel !

- Hein !? Tes sure que tu vas bien ?

Elle va fermer et boucler la porte d'entrée, retire son manteau ainsi que ses chaussures, déjà que sans la voir dans cette tenue j'ai envie d'elle, là je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder. Elle se rapproche de moi pour revenir m'embrasser de nouveau, je réponds au baiser pendant quelques secondes puis je m'arrête en la regardant.

- Es ce que tu en ai vraiment sur ?

Maïssa - Tout a fais.

🔞

Omniscient.

De là c'était partit à la dérive, Bilel souleva Maïssa par les cuisses et la colla au mur, ses lèvres quitta les siennes pour atterir dans le cou de la jeune femme. Maïssa passait sa main dans les cheveux de celui-ci et respirait un peu plus fort que d'habitude.
Document ils monterent en chambre toujours dans des baisers fougueux et fièvreux, Maïssa embrassant le joue de son amant, passa un cou de langue que l'aube de son oreille ce qui augmenta l'épaisseur du membre de Bilel. Il la posa dans le lit, et s'attaqua à sa bouche. Tout en faisant descendre le short de celle ci. Elle se retrouvait avec le débardeur et une cullote. Elle retira aussi le bas de pantalon de Bilel.
Ils étaient tous les deux à moitiés nus, se touchant, s'embrassant, brûlant de désire l'un pour l'autre. D'un coup Maïssa  se retrouvait à Califourchon sur Bilel. Elle embrassa ses lèvres, son cou, sa tempe, son torse, son ventre puis remontait à sa bouche. Elle descendit sa main dans le boxer du jeune homme qui soupirai le nom de Maïssa sentent les vas et vient qu'elle opérait sur son membre.
Maïssa était contente de l'effet qu'elle lui fesait. Elle finit par s'arrêter au bout d'un moment et retira son débardeur exposant ainsi ses seins à la vue de Bilel. Il trouva Maïssa parfaite.
Oui parfaite a ce moment là elle n'a jamais était aussi belle. Doucement les sous vêtements glissèrent. Les caresses devenaient de plus en plus provocantes, chaude. Les respirations étaient saccadés, tout deux transpiraient, Bilel était en elle, ses gestes étaient lents et doux, il avait envie de lui faire plaisir avant tout. C'était comme s'il avait peur de lui faire du mal, chaque geste était tendre, doux, passions et sensuelles à la fois.
Il la caressait pendant ses vas et vient. Lui embrassait l'épaule la tempe. Le cou puis revient à ses lèvres. Maïssa prenait aussi les devants et se retrouvaient au dessus pour le plus grand bonheur de Bilel.
Ce soir ils ont fais l'amour, pas comme des bêtes, mais comme deux personnes qui s'aiment.

A la fin de leur délicieux échanges, Maïssa était épuisée et s'endormait presque, Bilel lui observait Maïssa, il serait capable de lui faire l'amour pendant des heures comme de prendre soin d'elle. Ils se connaissaient depuis à peine 5 mois mais il sentait que c'était elle, la femme de sa vie. Il l'aimait.
Qui était cette femme ? Se demandait celui ci en l'observant.

Maïssa - Pourquoi es ce que tu me regarde comme ça ? Elle demande la voix un peu endormie.

Bilel - Rien ... Ah, Maïssa. Dit-il dans un soupire.

Elle se retourna vers lui et observe la lumière de la lune brillé et donnait un éclairage sur son visage, il était beau ce soir là plus beau que d'habitude. Elle se rapproche lentement de lui et se colle à lui, pour sentir son parfum et lui donner milles baisers à nouveau.  quand elle le voyait comme ça elle n'avait qu'une envie c'est de le prendre dans ses bras, être douce avec lui.
Quand elle le voyait comme ça elle était disposé à faire tout ce qu'il lui plaira.