Maïssa 《Merde, j'aime un arabe. 》 [ TERMINÉ ]

57.

Bilel.

J

'avais laissé ma femme à la maison, femme que je ne regarde pas et ne touche pas. Et ça depuis que l'on s'est marié il y a quelques mois. Elle aura beau faire tout ce qu'elle veut, il n'ya que Maïssa dans ma tête, dans mon cœur et dans mon entre jambe. Elle seule arrive à faire naître des désirs sexuelles en moi. Je me gare devant l'entrée du pavillon que j'avais acheté pour Maïssa et moi. Je descends de la voiture et la verrouille tout en allant vers la maison, je sors la clé et l'ouvre.
J'entre et la referme, j'avance et je vois que la lumière de ce qui était supposé être notre salon est allumé, je vais dans la cuisine, je constate qu'une assiette est posé dans le lavabo.

Je fronce les sourcils et monte directement dans la pièce qui devait être notre chambre, j'ouvre tout doucement et je la vois, allongé sur le lit, la couverture qui était seulement sur ses pieds, une cuisse penché en avant, elle avait une  robe en soi mauve, j'arrivais à voir le relief de ses fesses en dessous. Elle est si belle quand elle dort, puis j'avais l'impression qu'elle avait pleuré vu le mouchoir encore dans ses mains.
Je retire doucement mes chaussures et je viens me poser près d'elle, action qui lui a fait froncés les sourcils ensuite ouvrir doucement les yeux. Moi qui pensait qu'elle m'aurait hurlé dessus. Au contraire, elle me regardait avec ses yeux sombres.

Maïssa - Si c'est un rêve faite que je ne me réveille pas.

- C'est bien la réalité Hayate.

Elle ferma les yeux et laissa couler une larme que j'ai arrêté avant qu'elle ne touche entièrement sa joue. Je lui embrasse le front.

Maïssa - Larmes. Je t'en supplie arrête toi.

Je ne l'écoute pas et lui fais un bisou sur le nez sauf qu'elle se lève du lit mais avant qu'elle ne réussisse à sortir j'étais devant elle.

Maïssa - Va t'en.

- Je peux pas... Maïssa, tu ne m'aimes plus ?

Elle avait envie de me gifler je pense, elle me donna dos avec une main sur sa hanche et l'autre dans sa bouche puis elle finit par me sauter au cou pour m'embrasser, j'ai eu de suite une érection à cause de ses douces lèvres et ses baisers magiques. Elle passait sa main dans mes cheveux. Puis je passa mes lèvres sur son cou.

🔞 [ Omniscient]

Maïssa fit remonter le polo de Bilel avec rapidité, puis pendant leur baiser, retirai la ceinture de celui ci qui embrassait son cou avec hâte. Son pantalon en bas, Bilel remonta la robe de nuit de sa belle et la lanca à terre, éblouit ainsi par son corps qui était devenu encore plus beau. Il embrassa son cou, sa poitrine son ventre, et s'attaqua à son entre jambe, tandis-que celle ci gémissait bruyamment au contact de la  langue de Bilel sur son clitoris. Elle passait sa main dans ses cheveux pour le rapprocher un peu plus. Il en profitait pour retirer rapidement son boxer. Il remonte doucement et pousse celle-ci dans le lit, il était allongé sur elle, il embrassait son cou, se poitrine son ventre, elle entoura le cou de Bilel de ses mains, et passait également ses mains dans ses cheveux  tout émettant de fort gémissement.  Le doigt de Bilel entra dans la fleur de sa belle, et elle moullait abondement. Ce qui n'était pas pour déplaire au jeune homme. Il finit par entrer en elle, en la regardant dans les yeux. Le pied de celle ci passa délicatement sur l'une de jambe de Bilel pour venir se reposer sur le lit. Il allait en douceur tout en lui faisant des baisers tendres sur la bouche, sur ses clavicules ou encore son épaule. Les ongles de Maïssa entrèrent en contact avec le dos de Bilel car Elle était pleine, elle se sentait tellement bien qu'en un geste elle se retrouvait sur lui avec ma couverture aussi. Elle montait et descendait avec des coups de reins pour le plus grand bonheur de Bilel. Il s'empressait de fourrer un sein dans sa bouche pour donner encore plus envie à Maïssa.
Cette nuit là ils l'ont fais plusieurs fois, rattrapant le temps perdu, les baisers et les caresses non échangés. Cette nuit là, ils avaient fait l'amour comme si c'était la dernière fois.