Erh 45

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Sans comprendre pourquoi, la garde royale interpelle la cors'Erh alors que celle ci n'était plus qu'à quelques mètres du palais.

Elle accepte de suivre les hommes de la garde royale.

Une fois arrivé au pose de garde le plus proche, Aïda reconnu la silouhette squelettique et le visage macabre de son tyran.

-Mr le ministre! Vous voilà de sortie ?  Ironiqua la rousse sachant éperdument qu'il n'est pas là par hasard.

Menottée et assises à une chaise face à  un bureau Aïda attend la tirade du ministre.

Celui ci pourtant toujours rigide dans ses expressions semble inquiét et visiblement  en colère. 

Après un moment à tournée les pages d'un ouvrages relatant les lois d'Erh,il le referma soudainement et fixa la corsaire.

-Que faites vous ici?

-Je viens demander à mes troupes et à la garde royale d'interpeller Eoly afin de mettre un terme à ma mission. 

Le ministre sourcilla.

-Où est elle ? Demanda t'il.

-Dans les îles perdues, je connais le chemin pour s'y rendre.

-Qui nous dit que ça n'est pas un piège?

-Pardon ? Bloqua la rousse devant de tels propos.

-En un peu plus de 2 mois vous avez très bien pus vous lier aux pirates et changer d'avis.  Des témoins vous on vue au marché d'Erhim durant l'attaque vous étiez parmis les pirates.

-C'est exacte j'ai intégré les troupes D'Eoly,  tel était ma mission. Je combattais à leurs côtés pour protéger les citoyens.

Le ministre éclata  de rire.

-Bien sur des pirates qui protègent des citoyens.  Ha ha ha ! Bien évidement !  Et de quoi les protegaient ils Ranid ? Pouffa le ministre.

-De ceci. Déclara la corsaire en tirant son tour de cou. Laissant la veine violatre apparaître à la lumière du jour.

-Qu'est ce donc ? Un tatouage ? Riat le ministre.

-Non. Du venin.
-Si vos témoins m'ont vu au marché alors ils ont également vue les créatures à l'origine de ceci.

Le ministre ce cryspa un instant, ravala  son rire et repris son air autoritaire et septique.

-Et bien quoi? Un serpent vous à mordu ? Allez chez le médecin Ranid ! Riat  celui si en ignorant les propos de la rousse.

Aïda commence à perdre patience, une lueur de colère s'éveille dans son regard.

-Vous ne comprenez pas ! D'ici quelques instant elle peut attaquer et faire un nouveau massacre ! Il faut l'arrêter maintenant ! 

-Inutile de crier. Vous ne savez même pas où elle est. 

-Je vous dis que oui. 

-Je ne laisserez pas un seul de mes hommes partir avec vous Ranid.

-Pourquoi ? Parce que je suis une femme ? Ou parceque vous avez trop peur d'agir? Lacha la cors'Erh en colère.

Le ministre fit un bon de sa chaise et ce dressa devant l'exlieutenant, affirmant sa domination sur elle.

Celle ci le broncha pas, mais elle ne baissa sous aucun  prétexte son regard qui fixe avec colère les petit yeux vicieux et manipulateur du ministre.

-Vous préférez envoyer un mercenaire pour nous tuer toutes les deux peut être ? Raya la rousse.

-Vous avez 48h pour nous l'amener. Pas une de plus. Suite à ça vous devrez revenir au palais ou vous serez jugé pour avoir échoué à votre tâche.  Vous connaissez la sentence Ranid. Dis celui ci en quittant les lieux.

Aïda et le courant d'ErhOù les histoires vivent. Découvrez maintenant