Notre Secret (Ancienne Little Mix Fanfiction AU)

Chapitre 21: Famille (partie 2)

(pdv Jesa)

Quelques minutes passèrent et je me sentais mieux, enfin physiquement, ma crise était passé, mais je ne m'en remettait toujours pas. À ce moment là, Chris sortis de la chambre, dépité. Charles et moi le regardâmes :

« Je suis heureux de faire partit de la famille ! Fit-il tristement en me regardant.
-Bon, j'imagine que vous allez devoir vous séparer.
-On sortait pas ensemble. Intervins-je.
-Non mais vous avez fais autre chose, qui est pire que sortir ensemble dans cette situation.
-Parce qu'on était vachement au courant de la situation familial. D'ailleurs ton père veut te parler Jesa, seule ! »

Je soufflai encore dans mon mouchoir et fit non de la tête. Je n'irai pas le voire, ni lui parler. Mes deux frères me regardèrent, les bras croisés, insistant du regard. Je commençai à voir la ressemblance familiale. Leurs yeux insistaient de plus en plus. Je me sentis comme une enfant qui refuser d'aller au lit et qui se faisaient grondée par se parents. Sauf que j'avais passé l'âge de me comporter comme une enfant, je devais bien confronter mon père à un moment ou un autre, surtout quand la vie ne nous donner plus beaucoup de temps. Je soupirai donc et allai dans la chambre.

« Tu veux me parler ? Demandais-je à mon père en ouvrant la porte.
-Ah, Jesa.
-"Jesa" ? Tu te souviens de mon surnom, je croyais que c'était "Jesabelle". Rouspétais-je.
-Arrêtes de faire l'enfant, et assieds-toi.
-Si je refuses ? Dis-je insolemment en croisant le bras.
-C'est une très longue conversation, tu es sûr de vouloir rester debout ?
-Je savais que ces chaussures étaient une mauvaise idée. Marmonnais-je en allant m'asseoir.
-D'où tu nous les sorts ?
-De chez Pearl. Répondis-je sèchement.
-Pourquoi je demande ! Rigola-t-il. Comment va-t-elle ?
-Ça va. J'avais toujours le même ton.
-Et Janessa et Leïla ? Demanda-t-il s'intéressant tout d'un coup à ma vie.
-Elles vont bien aussi.
-Et toi, comment tu vas ? Il posa sa main sur mon épaule et me sourit.
-Là ? Tout de suite ? M'étonnais-je énervée. Je veux juste que tu meurs. Je veux juste que le karma te rattrape et que la vie te fasses autant souffrir que tu m'as fait souffrir.
-Tu as le droit d'être en colère contre moi...
-Oui j'ai le droit ! Criais-je en me levant d'un bon. Tu nous as abandonné nous laissant sans rien, même pas un toit pour vivre, tu ne nous as jamais contacté, tu nous as donné une peste de sœur et tu nous as caché qu'on avait un demi-frère ! Je comprends pourquoi il aussi con maintenant ! T'es au courant qu'il est amoureux de moi en plus, mon demi-frère est amoureux de moi, c'est génial et pas du tout chelou ! En plus je suis même plus ta princesse...
-Je suis désolé ! Chuchota mon père.
-Qu'est-ce qu'il te fait croire que je vais te pardonner ?
-Laisses-moi t'expliquer.
-Expliquer ? Je t'en pris !
-Si je vous ais abandonné, c'est parce qu'on ne se supportais plus mutuellement avec ta mère donc on a divorcé. Seulement, elle a tout fait, pour me prendre mes droits de père. Je n'ai eux le droit à aucune garde, je ne pouvais pas venir vous voir et quand j'essayais de vous contacter d'une autre manière rien ne marchait. J'ai tout prit pour me consoler de ne pas avoir mes enfants avec moi, en particulier toi Jesa. J'ai refonder une famille, parce qu'on me ancienne me manquer terriblement. Je n'ai jamais voulu te faire du mal. Pour ce qui est de Chris, j'aurai du te le dire. Expliqua-t-il calmement.
-Ça m'aurait évité de coucher avec lui. Marmonnais-je.
-Comment ?
-Rien !
-Mais je penser à ce que vous alliez dire, si vous appreniez que j'avais trompé votre mère. J'ai fais énormément d'erreurs dans ma vie. Je ne peux malheureusement pas les réparer, mais je peux au moins m'excuser. Alors je suis désolé, princesse.
-Je croyais que c'était elle ta princesse ? Fis-je sans aucune émotion.
-Jesa, elle a cinq ans ! Elle est ma fille tout autant que toi, et je l'aime tout autant que toi, même si tu étais plus facile à vivre quand tu avais son âge. Mais tu es grande maintenant, tu as passé l'âge d'être appelé comme ça.
-Je passerai jamais l'âge d'être ta princesse.
-Une vrai princesse comme toi ne mérites pas un nullard de père comme moi. Veux-tu regarder dans le grand sac noir pour moi s'il te plaît.
-Qu'est-ce qu'il te faut ? Je demandais-je confuse.
-Tu trouveras. »