Chapitre 40 : L'album de famille

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(pov Jesa)

"Jesabelle ? S'écria mon grand-père en me voyant. Que fais-tu ici ?

-Elle peut parler au mort. Répondit mon père d'un air détaché. Bonjour ma princesse. Il me fit un signe.

-Comme Hasel ? S'étonna le veille homme.

-Je pense qu'il faut qu'on parle ! Finis-je sèchement.

-D'accord. De quoi veux-tu parler ?

-De Hasel, et du fait que tu battais ta femme !"

Mon grand-père regarda son fils, puis se leva pour aller à l'autre de bout de la pièce. Mon père le suivit et ils commencèrent à chuchoter. Je n'entendais pas leurs paroles, mais j'entendais leurs tons, mon père semblait énervé et mon grand-père paniqué. Je décidai de m'assoir sur le canapé provenant d'une autre décennie, cependant plus neuf que celui vue dans le monde des vivants.

Ils se tournèrent vers moi. Mon grand-père fuyait du regard et grattait ses chevaux blancs, gêné. Son fils, le regard noir et remplit de colère, marcha jusqu'au fauteuil où il s'assit avant de frotter son visage avec ses mains. L'homme le plus âgé refusait de me regarder, admettant ses crimes sans même parler.

"Je ne suis pas fière de ce qui s'est passé avec Georgia...

-Est-ce pour ça que Hasel est partie ? Avait-elle aussi peur de toi ?

-Tout le monde avait peur de lui. Murmura mon père.

-Alors pourquoi tu l'as laissé vivre avec nous ? M'énervais-je.

-Tout à changer, quand Hasel est partie...

-Disparue ! Coupa mon grand-père.

-Elle est partie papa ! Cria le fils. Elle a fui, elle a fui ses disputes avec maman, ta violence et elle m'a fuit moi ; tu le sais aussi bien que moi ! J'ai trahi sa confiance en révélant son secret et elle s'est enfuit. Personne ne sait où elle est allée !

-Est-ce que vous pouvez me parler d'elle ?

-Elle était comme toi, commença mon grand-père, ses cheveux était plus foncé, tout comme ses yeux, sa peau était plus blanche et ses traits plus fins. "

Mon grand-père ce leva et alla dans l'armoire où nous avions trouvé les journaux. Sauf qu'ils n'y avaient aucun papier, seulement de grands albums. Il vint se rasseoir. "Hasel" était gravé sur la couverture en cuir rouge de l'album. L'objet fût ouvert. Des photographies de ma tante, de sa naissance à sa fugue. Elle était magnifique, d'une beauté à couper le souffle presque inégalable. Des images la montrait avec mes grands-parents, mon père. Des images la représentant avec trois autres jeunes filles revenait souvent.

"Qui est-ce ? Demandais-je.

-C'est meilleures amies. Répondit mon père. Elles étaient inséparables, comme toi et tes amies. Toutes des sirènes, je n'y croyais pas mes yeux à l'époque.

-Sais-tu où elles sont ? Elles peuvent peut-être aider ?

-Elles ne savaient rien à l'époque, elles ne sauront rien aujourd'hui. Je ne sais pas où elles peuvent être.

-Ce visage m'est famillié... Quels sont leur nom ?

-Kate,Luna et Célia. Fini mon père."

Ce nom m'est famillié. Qui s'appelait Célia dans mes connaissances ? Ce n'était pas quelqu'un de mon âge... La mère de Myriam s'appelait Célia ! Non, ça ne pouvait pas être elle. Ma tante ne pouvait pas être amie avec elle. Bien que je n'ai pas le souvenir que Célia soit aussi cruelle que sa fille, je n'ai pas vraiment de souvenirs d'elle à vrai dire. Je me rappelle m'avoir fait la réflexion que Célia n'avait rien de sa mère, à par les yeux. L'une était blonde avec les cheveux courts et souriante, l'autre était brune, les cheveux longs et le regard haineux.

Notre Secret (Ancienne Little Mix Fanfiction AU)Where stories live. Discover now