Histoires Vécues

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Elle croyait que son avortement a réussi, 30 ans plus tard, son enfant lui rend visite

Publié le 25 novembre 2019 Par The Ghost 

La mère de Mélissa Odhen a subi un avortement à 31 semaines de grossesse à l’aide d’une perfusion de solution saline, qui a pour but d’empoisonner le bébé. Durant cinq jours, elle a reçu cette perfusion et au moment d’accoucher du bébé mort in utero, l’avorteur a conseillé à la patiente de ne pas regarder l’enfant car cela serait choquant. Toutefois, ce qu’elle ne savait pas c’était que l’enfant était en fait toujours en vie  et elle quitta l’hôpital sans le savoir.

Cependant, son bébé était toujours en vie, il s’agissait de Mélissa Ohden. Cette dernière a expliqué son histoire à la presse en déclarant qu’il y avait un placard à l’hôpital où se trouvait des seaux de formaldéhyde où le personnel médical plaçait les enfants d’avortements dedans, qu’ils soient vivants ou non. Ainsi, même les enfants ayant survécus se retrouvaient dans ces seaux et ils les laissaient mourir. Mais, Mélissa a eu la chance de tomber sur deux infirmières qui ont décidé de la sauver.

Elles l’ont directement emmené aux soins médicaux car elle souffrait de graves problèmes respiratoires et hépatiques. Les médecins pensaient que Mélissa n’allait pas survivre mais finalement elle est restée en vie, sans aucune complication médicale ni handicap.

Par la suite, à l’âge de cinq ans, Mélissa a été adoptée et elle a grandi en sachant son adoption. Ce n’est qu’à l’adolescence qu’elle a finalement découvert les circonstances de sa naissance. Elle a souffert du fait d’être une survivante d’un avortement car elle ne se sentait pas désirée.

Au bout d’un certain temps et après de longues années de malheur, elle a décidé de pardonner à sa mère. Pour cela, elle est partie à la recherche de ses parents biologiques. Son père était déjà décédé lorsqu’elle a voulu le contacter mais sa mère était toujours en vie.

Après de multiples essais pour la rencontrer, elle a finalement réussi à le faire et elle se souviendrait à jamais de ce moment. Mélissa a découvert toute la douleur qu’a pu ressentir cette mère lorsqu’elle a appris que sa fille avait survécu. En outre, la mère de Mélissa lui a expliqué qu’il s’agissait d’un avortement forcé par ses parents, ces derniers ayant même falsifié la signature de la jeune mère pour les formulaires de consentement.

Mélissa a souhaité partager son histoire à travers un livre, « You Carried Me : A Daughter’s Memoir », afin d’informer et de sensibiliser les gens quant aux avortements ratés et d’offrir un soutien aux survivants de l’avortement.

Elle coupe le pénis de son fils parce qu’elle aurait voulu qu’il soit une fille


Originaire du Brésil, Rosana Candido, âgée de 27 ans, est la maman d’un garçon de 9 ans dont le nom est Rhuan Grizzly. Cette dernière, avec son amante lesbienne Kacyla Pessoa, âgée de 28 ans, ont été accusées d’avoir coupé le pénis de son fils et de l’avoir décapité, sous prétexte qu’il lui rappelait son père. Ça c’est un.



Ensuite, les deux femmes auraient également cousu un organe féminin sur ses parties génitales du petit, pour satisfaire l’envie de Rhuan qui selon elles, aurait voulu devenir une fille. Cependant, elles ne se sont pas arrêtées là. Elles ont tenté de lui arracher les yeux à l’aide d’un couteau. Sa mère l’aurait d’ailleurs poignardé une douzaine de fois. Le petit garçon a donc non seulement été violenté et agressé sexuellement par sa propre mère, mais cette dernière l’a ensuite tué et mutilé.

Après avoir commis le crime, le couple aurait tenté de faire disparaitre son corps

Elles ont brulé certaines parties du corps du petit garçon sur un barbecue, puis ont placé ses restes dans une valise qu’elles ont jetées dans les égouts. D’autres parties du corps du défunt ont été cachées dans deux sacs à dos dans la maison du couple. Les deux femmes ont fini par avouer le meurtre, et ont déclaré aux enquêteurs qu’elles n’avaient utilisé que des outils rudimentaires pour transformer le petit Rhuan en fille, en expliquant que c’est ce que le petit garçon voulait.

La mère a essayé de justifier son acte en affirmant que son fils était un fardeau qui l’éloignait de son amante actuelle

Par ailleurs, la mère a avoué que son fils lui rappelait son père, qui l’avait maltraité pendant plusieurs années. Le père de l’enfant, qui habitait au Pérou, s’est adressé à la police et leur a expliqué que Rosana s’était enfuie avec son fils 5 ans avant les faits, alors qu’elle avait officiellement perdu sa garde.




« Ma meilleure amie m’a empoisonnée »


Publié le 3 décembre 2019 Par Mr. Le Humble 


Une jeune femme raconte comment elle a été empoisonnée par sa meilleure amie

Nous vivons dans un monde aujourd’hui où la jalousie, l’envie et l’hypocrisie nous tient plus que la pauvreté. Et on a du mal à faire confiance à l’autre. Voici donc l’histoire d’une jeune femme sud-africaine qui interpelle notre vigilance.

Une jeune femme de Seshego, accusée de tentative de meurtre après avoir prétendument empoisonné sa meilleure amie et publié «Rest In Peace» sur les réseaux sociaux.

Elle s’appelle Boitumelo Leshabane, connue sous le nom de Boity Mellow sur Facebook. Les témoignages racontent qu’elle a publié une photo de sa meilleure amie, Lalattie Penelope sur Facebook , après l’avoir prétendument empoisonnée en pensant qu’elle n’y survivrait pas.

Sur les captures des posts, Leshabane a ajouté des émojis en pleurs portant le nom de Lalattie. Lorsqu’un utilisateur a demandé d’après Lalattie, Leshabane a répondu en affirmant qu’elle avait entendu dire que c’était vrai et qu’elle avait été transportée en ambulance à 2 heures du matin.

Mais miraculeusement, la victime Lalattia a survécu et faire part de la vérité.

« Beaucoup d’entre vous se demandent pourquoi j’étais dans la rue en train de vomir du sang. La vérité, c’est que ma meilleure amie m’a empoisonnée. Quelqu’un avec qui j’ai grandi et que je connais depuis 4 ans. Elle a versé de l’iode dans mon verre et a continué à me demander si j’allais bien. Elle a même été la première à publier “RIP” alors que je me battais pour ma vie.

Je remercie Dieu de m’avoir donnée une autre chance. Je peux à peine parler correctement… », a publié Lalattie.
Leshabane a commenté en lui présentant ses excuses, affirmant qu’elle n’en avait pas l’intention, mais c’est déjà trop tard pour un tel acte de «sorcellerie».

Jusqu’ici l’affaire serait officieuse mais la police de Seshego a déclaré qu’elle serait fière d’enquêter sur une tentative de meurtre si la victime venait à ouvrir un dossier.

Mettre une amitié d’enfance à terre, tout ça pour quelles raisons ?



© 2019 Gnadoe Magazine

Dark Stories (Tome 3) <Terminé>Where stories live. Discover now