CHAPITRE 18

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Si vous avez Moins de 18 ans, ne lisez pas la partie gras italique, à bon entendeur salut.

Bonne lecture, aimez et partagez si vous appréciez.

- Heu pardon, tu fais quoi.

- Tu ne m'as pas entendu, nous allons dormir.

- Mais... C'est notre nuit...

- Mais rien. Allez mon gros bébé, dormons. Je t'aime ma femme.

Non mais que quelqu'un me pince, me gifle, me pousse par la fenêtre. Il me fait quoi là, mon mari, mon mari, oh ça me fait tout drôle et trop plaisir, mais cette espèce de canaille me fait un coup pareil. Il a osé me chauffer pour me demander de dormir, dormir après avoir éveillé la bête qui sommeille en moi, impossible, il va goûter à la chose par force sinon je ne m'appelle pas Safia Mouhamad Diallo Sidibé.

Je me lève pour aller dans le dressing, dans mes valises qui s'y trouvaient, j'avais mes joujoux que je ne comptais pas utiliser avant de m'être adapté, mais changement de plan, on va voir ce qu'on va voir.

- Tu vas où babe.

- Toilettes, envie pressante.

- Fais vite.

- Tu ne vas même pas sentir mon absence, je serais aussi rapide que Clark Kent, promis.

Tima avait dit ne pas provoquer mais ce n'est pas comme si j'étais vierge, alors je n'aurais pas mal, n'est-ce pas.

Comme c'est notre nuit de noces, va pour du blanc. Un soutien-gorge ouvert, un tanga, des porte-jarretelles et bas qui vont avec, des talons, du vernis à lèvre rouge laqué, défait mes tresses pour libérer ma jolie chevelure afro, m'asperge de parfum et prend le petit cadeau que je réserve à mon bae d'amour.

Je le trouve qui dormait déjà, il est vraiment culotté le gars. Je lui donne son cadeau, m'assieds sur tabouret de la coiffeuse et compose son numéro. Je m'étais assurée de désactiver le mode avion, sur son téléphone personnel.

Il essaie de bouger la main, mais n'y arrive pas. Monsieur voulait jouer en m'attachant les mains pour me torturer à sa guise, eh bien à chacun son tour chez le coiffeur, le voilà menotté.

- Qu'est-ce que !

- Coucou mon chou, alors il te plaît mon cadeau.

- Ça un cadeau ! Tu appelles ceci un cadeau ! Libère-moi, tout de suite.

- J'ai envie de m'amuser, pas toi.

- Comment pourrais-je m'amuser avec ça.

- Ça rend le jeu plus amusant.

- Je n'en suis pas sûr, libère les mains de papa qu'on puisse passer un bon moment. Tu as l'air tellement appétissante.

Je fais mine de réfléchir et me lève pour me diriger vers le lit, ses yeux faillirent sortir de leurs orbites. Il venait d'avoir une vue totale sur mon corps et son expression était plus que drôle.

- Hé mon chou, ferme ta bouche s'il t'épelait, tu es en train de baver là.

- Normale, tu es une vraie bombe. Damn, trop sexy ma femme.

- Tu trouves

- Regarde l'effet que tu me fais avec juste cette belle vue.

Je lui offre un visuel, un pivot de trois cent soixante degrés, avec les encouragements de mon mari qui sifflait avec sa langue.

BrokenWhere stories live. Discover now