CHAPITRE 25

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⚠⚠⚠🔞🔞🔞LES ENFANTS, NE LISEZ PAS LA PARTIE EN GRAS ITALIQUE, JE RÉPÈTE NE LISEZ PAS LA PARTIE EN GRAS ITALIQUE. BONNE LECTURE😘😘😘

Bouche-bée, voilà comment j'étais. Comment, quand, je ne comprends rien de rien. Depuis un bon moment que j'étais devant la porte de ma chambre, mais je n'arrivais toujours pas à y pénétrer, je me demande même si c'est vraiment la mienne.

- Tu te décides à me rejoindre ou pas.

- Sommes-nous à la bonne adresse, que dis-je, bien sûr que c'est la bonne adresse, mais est-ce vraiment notre chambre.

- Non, nous avons été téléporté dans une autre dimension, bien sûr que c'est notre chambre, j'ai juste changé la décoration, ça ne te plaît pas.

- Tu es idiot ou quoi, pourquoi ça ne me plairait pas, c'est magnifique, mais pourquoi, comment, quand, et surtout pourquoi ne m'avoir rien dit.

- Bah, on dirait le contraire, qu'est-ce que tu attends alors pour entrer, une invitation peut-être, pour entrer dans ta propre chambre.

- T'es fou. Tu n'as toujours pas répondu à ma question.

Il me prend la main pour me faire entrer dans la pièce, c'était juste waouh. L'odeur du nouveau. Une nouvelle chambre à coucher avec un lit baldaquin, j'ai toujours aimé les lit baldaquins, ça fait princesse et c'est romantique. Je pourrai facilement l'y menotter, je vais bien m'amuser, je le sens. La peinture, les meubles, même la télévision, tout a été changé dans cette pièce, tout sauf nos photos.

- C'est fou comme je peux en apprendre, en te regardant dormir.

- Je ne comprends pas.

- Notre première nuit au Radisson, je te regardais dormir, tu sais que tu es trop mignonne quand tu dors.

- Je suis mignonne dans toutes circonstances.

- Dans tes rêves. Je disais que je te regardais dormir et tout à coup, tu as commencé à dire du n'importe quoi. Au début, je pensais que c'était drôle, jusqu'à ce que je t'entende dire que tu ne pourrais plus dormir dans cette chambre, qu'elle te dégoûte, que tout ce qui s'y trouve te rappelle cette folle journée.

- Tu as décidé de refaire la déco, je t'ai déjà dit que tu es un ange.

- Je ne crois pas, non. Mais il n'est jamais trop tard.

- Tu es un ange, mon ange à moi, le meilleur, je t'aime. Je comprends mieux pourquoi tu as prolongé notre séjour à l'hôtel, mais ça a dû te coûter une fortune, surtout avec les travaux.

- Rien n'est trop cher pour ma femme, pour ton bonheur, je me couperai même un bras, ou les deux, mieux, je me crèverai les yeux, si nécessaire.

- Mouais, j'y crois. En tous cas, j'adore et je me vois faire des folies dans ce lit.

- Comme quoi.

- Oh ça, tu le sauras assez tôt. Et si on se faisait une pendaison de crémaillère, rien que tous les deux, et se faire de nouveaux souvenirs dans notre nouvelle chambre.

- J'adore cette idée.

Il me soulève, tel un bébé et me dépose sur le lit comme une poupée en porcelaine. Il ouvre les boutons de ma chemise et me couvre de baisers. Il trace une ligne imaginaire, de ma poitrine à ma mâchoire, lèche mes lèvres, les mordille, introduit sa langue dans ma bouche, à la recherche d'un trésor caché.

BrokenWhere stories live. Discover now