Broken

CHAPITRE 34

Ne faites pas attention aux fautes, si vous voyez une incohérence,  sachez que c'est le correcteur automatique,  que je vais d'ailleurs désactiver. Bonne lecture et à bientôt Inch'Allah.

 - Entrez.

La porte s'ouvre sur un Salih tout joyeux, sapé comme jamais avec sa salopette retroussée, son t-shirt blanc et baskets blanche, il était mignon comme tout.

- Vous faites quoi.

- Je masse les pieds de maman.

- Je peux aider.

- Bien sûr, viens que je te montre.

Je regardai mes deux amours, qui me massaient chacun un pied. Je n'ai pa pu m'empêcher de prendre une photo que j'ai posté en statut, avec la légende « most loved baby mama", ce qui m'a fallu un appel groupé des filles.

- Tima : khalé bou jiguéne féne nga, bimay eumb ba tey ma dieul ndamou most loved baby mama. ( jeune fille, tu mens, durant tous le long de ma grossesse à nos jours, je suis la most loved baby mama)

- Issa : parlez pour vous, vous avez vu comme mon homme est attentionné, je n'ai jamais été aussi comblée.

- Jenna : yéna niak diom, loutakh ma am ay kharit you dof (pourquoi Dieu m'a donné des amies aussi givrées que vous). (pourquoi Dieu m'a donné des amies aussi givrées que vous)

- Oh, attendez que j'active la vidéo, que vous voyez par vous-même.

Elles étaient toutes extasié devant mon fils qui induisait mon ventre de beurre de karité.

- Jenna : il est trop chou mon mari.

- Vous voyez les filles, vous n'avez pas cela. Et c'est comme ça avec toute la famille.

- Tima : attends que ma fille grandisse et que je tombe enceinte, tu verras Inch'Allah.

Pendant des minutes, on a tympanisé bae et Salih, avec nos cris. Les pauvres, je suis sûr qu'ils prient tous pour que j'aie un garçon.

Les cris se font de plus belles, quand père et fils, font des bisous sur mon ventre.

- Tu devrais arrêter de porter des chaussures à talons, tu as toujours mal après.

- Et ma démarche d'enfer, tu sais que je marche n'importe comment dans des chaussures plates.

- Tu es folle, je ne cesserai de le répéter. Tu faisais comment avant à l'école, ne me dis pas que tu portais des chaussures à talons à l'époque.

- non, mes parents refusaient de me laisser faire.

- Et qu'est-ce qui a changé.

- Ça, c'était avant, maintenant, je suis une grande fille et je veux me sentir bien dans ma peau.

- N'oublie pas que tu es d'abord une femme enceinte de cinq mois et que tu devrais éviter de te faire mal.

- Je gère.

- Dis plutôt que c'est moi qui gère avec les massages.

- Parce que tu es un amour.

- Anaphore

- Quoi

- Tu me le répètes chaque trente secondes.

- Maintenant, je le ferais chaque cinq seconde Inch'Allah. Je t'aime.

- Je t'aime encore plus ma reine.

- Non, je t'aime beaucoup plus mon roi.

- Non, c'est moi qui t'aime le plus.