CHAPITRE 33

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AichaLam3 sa suite ba ngui nonou, sa mais ani NadiiaFaye khana néko vacances
Bonne lecture

- Arrête ça, je suis sérieuse.

- Mais moi aussi honey, regarde. Putain les mots qui sont sortis de ta bouche, c'était trop hot, mais il faudrait la laver à l'eau de javel. Il ne faudrait pas que mon bébé entende ces choses.

- Comme si tu n'avais rien dis. « kate nd**m Babe sa data saf na, putain lo ci def. Sa leuf li nekh neu, ya ngui dégue son bi massa koy di def dans ta chatte, puré, c'est l'extase." ( translate AmyDieye6, HapsatouThiam30, Suspiliciousbee, oumoulle, AichaLam3)

- Amour, il m'est inconcevable de passer toute ma grossesse entre quatre murs, j'ai besoin de travailler, de changer d'air.

- Si ce n'est que cela, on peut bien voyager, aller en week-end ou faire le tour du monde.

- Tu peux être sérieux une seconde.

- Je le suis.

- Non. Babe, je ne reviendrai pas sur mon discours, saches juste que je suis enceinte, pas malade, j'ai beaucoup galéré pour en arriver là où j'en suis et je ne compte pas arrêter juste parce que je suis une femme en état.

- Ce n'est pas que la grossesse, tu le sais bien.

- Tu crois en Dieu ou pas. Même dans ma chambre, un malheur peut m'arriver.

- Mais...

- Mais rien, je reprends le travail, un point c'est tout, tu devrais en faire de même.

- ...

- Si tu continues de faire cette tête, j'irai à ma première échographie sans toi.

- Tu n'oserais pas.

- Continues, tu sauras.

- Quand.

- Après demain, Inch'Allah.

- Et tu ne m'en parles que maintenant, tu ne me respectes pas, femme.

- J'ai appelé hier pour prendre rendez-vous, et par chance, le docteur n'était pas full pour cette semaine.

- Je vais voir mon bébé, Inch'Allah.

- S'il te plait, taches de dormir d'ici là.

Jour de l'échographie, monsieur était debout bien avant moi, c'est même lui qui m'a réveillé. On était à la clinique avec trois heures d'avance.

- tu peux arrêter please.

- Quoi.

- Ce que tu fais.

- Mais qu'est-ce que j'ai fait.

- Tu agis comme si j'étais à terme, je peux marcher toute seule, tu sais.

- Mais je ne fais rien de mal, je ne veux juste pas que tu te fatigues à faire beaucoup d'effort.

- Je me plains.

- Rabat-joie, beaucoup de femmes feront tout pour être à ta place et avoir un aussi prévenant, attentionné et galant que moi.

- Qui a dit que tu avais ces qualités.

- Pas besoin qu'on me le dise, je le sais, c'est tout.

- monsieur et madame Sidibé, bonjour. Comment allez-vous.

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