41~Faire face à la réalité

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Un grand merci pour ceux qui continuent à suivre le cours de cette histoire, bien que trop floue pour ma part. Je me rends compte qu'il y'a vraiment beaucoup de fautes, et elles sont si abondantes qu'elles me donnent envie de tout corriger maintenant. Mais malheureusement, je n'ai pas le temps pour. Mais je le ferais un jour, si Dieu le veut : inchallah.

En attendant, vous pouvez me faire remarquer les erreurs et les confusions. Cela m'aidera beaucoup pour quand j'aurais enfin le temps de corriger cet écrit, car je tiens beaucoup à lui. Encore une fois, mille merci aux habitués et aux lecteurs fantômes qui me permettent de passer de bonnes journées. Bonne lecture à vous.

























L'aube approchait à grand pas, et déjà l'astre du jour se réveillait sortant de sa cachette derrière la haute montagne qui surplombait les Marécages. Mais malgré la lumière étincelante, les lieux gardaient de leurs charmes sombre et noir qui donnait l'envie de ne pas s'en approcher. L'endroit était malsain et personne de saint d'esprit n'osait traverser ces routes pourtant stratégiques. Il portait bien son nom, les Marécages, témoignant de la transparence maléfique et diabolique qu'il laissait filtré par la seule force de son existence.

Jadis, c'était un royaume peuplait d'hommes. Mais d'après l'histoire, il ne s'agissait pas de n'importe quels hommes. Ceux là étaient particulièrement maléfiques, utilisant la magie noire pour arriver à leur fin. L'on raconte qu'ils faisaient des sacrifices de nourrissons innocents pour invoquer leurs dieux. Ils les noyaient dans des eaux stagnantes et lugubres dont la couleur même était plus sombre que la nuit. Et pendant les soirs, l'on entendait les cris agonisant des enfants qui se débattaient jusqu'à manquer de souffle. Déjà à ce moment, les Marécages étaient abondants tout autour du royaume. Mais lorsque les hommes disparurent, assassinés par plus forts qu'eux, des sorciers dit-on, ils emportèrent avec eux les eaux maudites qui contenaient les âmes errantes des bébés noyés et bientôt, il ne resta que les bâtiment détruits, les débris jonchant encore le sol, les arbres déracinés et les ultimes indices qui indiquaient que des humains avaient vécu là, jonchant sur les sols poussiéreux tels des trophées.

Pendant des années, le royaume dont le nom était resté le même, les Marécages, avait inspiré la peur si bien qu'aucun royaume n'osa le réclamer et cela, même pendant la guerre des royaumes triangulaires. Mais lorsque Castride avait prit le contrôle de l'Iystre, il eut envie d'inspirer la crainte. Ainsi, il fit reconstruire le palais du royaume et ses donjons célèbres, connus comme les lieux des pires tortures qu'il ait existé. Ainsi, le domaine lui servait à faire naître la peur chez ceux qui le défiaient et nul n'osait s'opposait à lui lorsqu'il énonçait le domaine à voix haute.

Le chemin menant au palais qui s'élevait d'une hauteur vertigineuse était semé d'embûches. Des briques brisés, des branches coupés, des ustensiles de cuisines, et parfois même des tissus imbibés de sang sèche. Le paysage était a lugubre et sans aucun charme. Les sols portaient encore le signe des eaux qui stagnaient là, laissant la terre boueuse.

Entre le grand muraille qui entourait le palais sombre, se tenait une grande porte en fer gardée par deux hommes en armures rouges et noirs, armés. Leurs casques cachaient leurs visages, ne montrant que leurs yeux aussi sombres que les lieux eux-même. En dépassant la porte, on pénétrait dans une cours dont le gazon était desséché et même brûlé. Des bois en forme de croix étaient enfoncés dans le sol, et les cordes qui avaient servis à attacher les traîtres étaient encore visible bien que moins résistants aujourd'hui. Ensuite, l'on dépassait une autre porte, elle aussi gardée par deux hommes. Venait un couloir sombre éclairée par des lampes à huiles suspendus sur les murs. La propreté des lieux laissait à désirer, mais cela ne semblait nuellement inquiéter les hôtes. De toute manière, ils ne venaient là que pour régler des comptes et maltraiter leurs ennemis. Mais aujourd'hui, Castride et ses sbires avaient surtout fait le déplacement pour une raison plus particulière.

Trois Princesses Et Un Roi ""TOME 1"": << L' élue>>TERMINÉWhere stories live. Discover now