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Pdv Yukio

   Il est vraiment sérieux là ? Il veut vraiment rompre avec moi ? Et il pense pouvoir oublier tout ce que l'on a vécu en couchant une dernière fois avec moi ? Reste calme Yukio. Respire.
Merde comment rester calme ? Je sais même pas quoi lui dire pour qu'il reste. Si vous en avez j'en aurai besoin s'il vous plaît.

- Je suppose que t'es pas enceinte

- Non.

   Pourquoi je pose cette question moi ? C'est normal qu'il ne soit pas enceinte sinon dans le cas contraire il ne serait pas venue là en train de me dire tous ces bêtises.

- Tu penses vraiment tout oublier en passant une dernière nuit avec moi ?

- Oui. Demain matin j'aurais déjà tout oublié.

- Bien... Tu veux vraiment qu'on se sépare. D'accord. Comme tu l'as dis, on passera une dernière nuit ensemble. On peut le faire même jusqu'à t'en dégouté. Sache que l'on ne partira que lorsque je serai satisfait.

- Bien.

   Akihiko. Je découvrirai ce qui te fait faire ce genre de chose stupide.

Pdv akihiko

   Désolé Yukio. C'est pas ce que je veux mais j'ai bien réfléchi et c'est le mieux pour nous. Cette nuit sera notre dernière. Ça sera la dernière fois que je sentirais ta chaleur, et tes bras m'entourer.
Je sais que je te blesse mais je ne peux pas te laisser ruiner ta vie pour moi.
     Désolé Yukio. Sache que c'est moi qui suis le plus triste dans cette histoire. Tu peux pas savoir à quel point je t'aime. Je t'aime tellement ! Plus que ma propre vie.
Après les mots prononcés par Yukio, on monta dans la voiture et direction un hôtel. C'était un hôtel très reculer et vraiment en piteux état.

- En plus tu m'emmène dans un hôtel miteux.

- Je l'ai choisis dans une banlieue méconnu. Parfait pour cette nuit non ?

-...

- Ou bien monsieur préfère les hôtels de luxe avec vue ?

   Son regard était froid et distant. Je restais tout de même impassible face à ça. Je suppose que j'ai bien fait d'être si dur. Même si j'ai dit des trucs qui n'ont vraiment aucun sens. C'est bien qu'il est ce genre de regard. Ça serat plus facile de nous oublier après ça. Même si ça fait mal.

-  Finissons en.

- Déshabille toi entièrement.

- Hein ?

- Ne t'attends pas à ce que je sois doux. Déshabille toi.

      Je me fis à ces ordres toujours impassible, même si à l'intérieur j'étais en train de mourir. Il me poussa sur le lit et se déshabille à son tour.

- Tu m'avais pas proposé ce truc depuis que j'étais tombé malade.

-...

   Il me prit dans ses bras et me pose sur son membre après s'être couché sur le lit. Aujourd'hui, il est très bavard. Ce n'est pas à son habitude, et il n'arrête pas avec son sourire sadique.

- On est là jusqu'à ce que je ne me lasse. Tu trembles, tu es sûr que tu pourras m'oublier après ce que je vais te faire ?

- Ferme là... T'es tellement présomptueux... Tu verras j'aurais tout oublié.

- Alors dépêche toi parce que le jour vas se lever avant que je ne sois satisfait.

     Il était odieux mais ses actes trahissait ses paroles. Contrairement à ce qu'il a dit, il était vraiment doux avec moi. Faisant attention à ne pas me faire de mal m'a prit dans toute les positions possibles. Et il s'arrêta enfin quelques heures plus tard à l'aube. Après s'être nettoyer, sans même prendre la peine de nous reposer, on partit de cet hôtel.
De tout le trajet on ne se dit rien.

celui que je désire le plus Où les histoires vivent. Découvrez maintenant