I Kissed a Boy (French version ~ Complète)

Questions sérieuses 🔞

Cette fois-ci Marc pris son temps et Gavin savoura chaque seconde. Les baisers tendres se muèrent en plus fougueux pour ralentir de nouveau. Le corps de Gavin fut caressé du bout des doigts, du bout de la langue, du bout des lèvres. Le front, les paupières, le nez, les jours, la mâchoire... et ses lèvres si tentantes... puis le cou, gorge offerte et douce, l'os de celle-ci, le torse et les tétons bruns. Encore plus bas... le ventre doux, le nombril et l'aine. Le sexe fut tour à tour caresser, embrasser, sucer, délicatement malmené jusqu'à ce que Gavin se torde et gémissent sur le lit. Ses jambes furent écartées et l'exploration de Marc continua le long du muscle, à l'intérieur de la cuisse, au pli du genou, sur l'arc de son mollet et sa cheville fut tendrement embrasser. Gavin n'en pouvait plus. Tout s'entrechoquait dans sa tête. C'était la première fois qu'il était vénéré de cette façon. Ce n'était plus de la luxure ou simplement du sexe, voire de l'amitié... ces sentiments qui émanaient de Marc étaient loin de tout cela. Il se força à relever la tête et croisa le regard lourd de Marc tandis qu'il remontait le long de son corps. Pas un mot, juste la caresse des larges mains aux longs doigts, le poids du corps de Marc sur le sien, l'impression d'être recouvert entièrement par lui. Ses lèvres furent conquises une énième fois par cette bouche aux lèvres fines mais mobiles. Leurs hanches bougèrent à l'unisson. Puis Marc, avec l'aide de la douceur du lubrifiant introduisit un doigt, puis deux, attentif à ne pas blesser plus que nécessaire l'homme magnifique qui était sous lui. Il le voulait tellement mais pas comme un fou, pas cette fois.

Ce n'était plus simplement « baiser » ou « coucher ensemble » non, c'était quelque chose que Gavin ne voulait pas nommer. Alors que son corps de tordait sous le plaisir, cette réalisation le figea. Il prit peur. Il ne voulait pas...ça, n'est-ce pas ? Il tenta de renverser la situation, de prendre le dessus pour ne pas subir ces attentions trop douces. Il essaya... mais échoua. Marc avait trouvé l'endroit qui le fit perdre ses moyens. Il ne gémissait plus, il criait et le chanteur se repaissait de cette musique enchanteresse. N'y tenant plus, il le pénétra lentement, les faisant haleter tous les deux sous cette douce torture. Gavin l'embrassa voracement, mettant ainsi fin à la paix et à la douceur. Enfin Marc était en lui. Enfin il le ressentait ! Il serra ses cuisses autour des hanches de Marc, le rapprochant encore si c'était possible. Les mains du manager empoignèrent les fesses de Marc et il l'attira d'un coup brusque, profondément en lui. Marc cria.

— Bébé...

— Tais-toi. Baise-moi. Maintenant !

Gavin l'attira une autre fois, Marc se cambra. Son amant était bouillant à l'intérieur. Son sexe était enserré divinement. Il le regarda. Le regard de Gavin était impérieux.

— Bouge, bouge putain !

Marc fronça les sourcils. Il attrapa les poignets de Gavin et les força au-dessus de la tête de ce dernier. Leur yeux connectés, Marc bougea. Les yeux de Gavin roulèrent sous le plaisir.

— Oui !

Un autre mouvement de hanche, plus sec.

—OUI ! Encore... encore !

Le chanteur adorait voir son amant prendre son plaisir. Son visage était splendide, adorable dans son sens premier. Lui qui voulait se contrôler, contrôler leur plaisir, accéléra. L'empreinte de ses doigts s'incrustèrent sur les poignets et sur la cuisse qu'il avait relevé. Il voulait le voir craquer, gouter ses larmes de plaisir, boire ses gémissements...

— Gavin, Gavin.

Il l'embrassa. Gavin gémit entre ses lèvres, suçant la langue. Puis se cambra lorsque Marc toucha cet endroit magique. Ses cris grandirent dans le petit appartement alors qu'il chevaucha enfin le plaisir. Cela brulait comme de l'acide, c'était bouillant comme de la lave. Le plaisir qu'il prenait avec cet homme n'était commun à aucun autre. Cet homme au-dessus de lui, qui lui faisait voir les étoiles, qui lui apprenait ce que désir, passion voulait dire. Cet homme qui le possédait comme s'il était la plus merveilleuse des créatures. Gavin le voulait tant cet homme !