Is it Love ? Peter & Drogo: Tu as changer ma vie.

Tallie? (partie 1)

Fin du chapitre précédent:

Myosotis: Tu leurs demandera de parler de Tallie. Son vrai nom c'est Tallulha mais ne le dit jamais devant Wira. Sinon elle devient folle...

Moi: Qui est Tallulha?

Myosotis releva des yeux embués de larmes vers moi...

Myosotis: Sa...
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PDV: Peter

Ce matin lorsque je me reveilla, je crus être en plein cauchemar... Wira n'était pas avec moi dans le lit, seule son odeur douce, imprégnait les draps. Je me redressa rapidement et parcourut ma chambre des yeux. Lorsqu'enfin mon regard se posa sur un jolie corps simplement recouvert d'une nuisette noires, je reprit mon souffle. Wira était appuyé contre le mur près de la fenêtre. Ses yeux fixaient le vides et elle pianotait sur sa cuisse.

Moi: Ca va?

Wira tourna la tête vers moi, ne semblant remarqué seulement maintenant que j'étais réveillé. Elle m'envoya un sourire tendre. Elle était jolie, très jolie.

Wira: Oui et toi?

Elle s'approcha doucement de moi et s'assit au bord du lit. Notre lit... Je lui sourit avant de l'embrasser. Elle répondit à mon baiser doucement. (NDA: Bien sûr, les créatures surnaturelles ne connaissent pas l'odeur puante du matin! Y'A QUE NOUS, LES PETITS HUMAINS TOUT FAIBLES QUI CONNAISSONT!!!) Lorsque l'on s'écarta, je pus admirer les suçons qui parcouraient son cou. Elle était marquée, elle était mienne. Elle commença à passer doucement sa main dans mes cheveux, comme pour les recoiffer.

Moi: Bien sûr que je vais bien. ( Je l'entoura de mes bras.) Tu as été contre moi toute la nuit.

Elle sourit en embrassant doucement ma joue. Puis ma mâchoire, mon cou, ma clavicule, le haut de mon torse. Encore et encore. Je grogna. Wira me poussa sur le lit, me faisant m'allonger. Je ferma les yeux, profitant de ce délicieux supplice. Je l'avais fait soupirer toute la nuit, elle voulait simplement me rendre la pareille. Lorsque je sentis sa langue, tracée doucement le contour de mes muscles, je gémis son nom, avec un accent italien. Toute la nuit, elle m'avait demander de parler italien. Elle m'avait dit que cette langue l'excitait beaucoup.
Lorsque je sentis les lèvres de Wira venir se poser sur les miennes, je soupira de plaisirs. Nos baisers se prolongèrent longtemps.

Moi: Je t'aime.

Wira sourit en s'asseyant. Je me leva et alla m'asseoir sur le banc du piano, alors que Wira se reglissait dans les draps.
Je commença à jouer. La mélodie était improvisée, douce et joyeuse. Je vis Wira sourire. Puis elle commença à chantonner. Ses paroles étaient hésitantes, sa voix légèrement tremblante, son sourire timide. Ses grands yeux bleu foncé, tous comme ses cheveux, me fixait avec douceur. Elle était triste? A cette pensée je m'arrêta de jouer. Wira me regarda étonné.

Moi: Qu'est-ce que tu me caches? Pourquoi es-tu tristes?

Wira se tendit alors que son merveilleux sourir vacillait.

Wir': J'ai pas envie d'en parler.

Moi: Tu sais que tu peux tout me dire? Tu es tout pour moi Wir'.

Wira: Non, Peter... Je veux vraiment pas en parler...

Elle commença à fixer un point, au loin.

Moi: Parle moi, mi amore...

Wira: Cesse d'insister!

L'un des oreillers flotta a quelque centimètres du lit avant de retomber. Wira le regarda étonné, avant de me regarder avec de grand yeux, luisant de larmes.