Nouvelle famille!

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Fin du chapitre précédent :

Moi: Je t'aime Mi amore.

Elle sourit, et ce simple sourire, plus que n'importe qu'elle mots me fit comprendre les mots qu'elle me transmit ensuite par la pensée.

Wira: Moi aussi, Mi vida*.

(*Ma vie (en espagnole))

Tout les surnoms que je lui donnait était italien, les miens espagnol. Deux culture différente, deux origine, qui s'endormaient cette nuit là, l'un contre l'autre, après quelque caresse et baisers, qui n'appartenaient qu'à nous. Deux origine qui venait de s'unir dans une étreinte ardente. Deux espèces qui s'aimaient, et qui faisaient tous pour l'un pour l'autre.
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PDV: Wira

Le soleil matinal traversa mes paupières et me fit ouvrir durement les yeux. Je papillonne des cils, alors que je n'avais même pas de poussière dans l'œil. Je grogna en frottant mon visage contre la chose froide, assez dure, mais très confortable qui me servait d'oreiller. Un éclat de rire, puis une douce caresse.

Peter: Réveillé?

Moi: Mmh...

Me faisant de plus en plus à la lumière, je releva la tête vers son visage. Il me regardait avec douceur, sa main caressant mon dos nu.

Moi: Ca va?

Ma voix était rauque, a cause du long sommeil qui m'avait prit. On m'avait connu plus sexy, n'allons pas se mentir. Il devait bien être 11h du matin, vu comme le soleil était haut et tapait fort. Astre a la con! Ma tête reposait contre le torse de Peter, ma main a quelque centimètres de mon visage. Mes cheveux étaient éparpillés autour de mon visage et devait chatouiller le nez de mon beau vampire, mais il ne dit rien, ce contentant de caresser chaque parcelle de mon corps, qu'il pouvait atteindre. Son torse froid était parsemé de marques, qui me ramenèrent soudainement à notre nuit. Les marques de mes ongles. J'avais malmené sa peau, mais il n'avait rien dit. Ma première fois avait été... incroyable, merveilleuse, unique? Tout ça a la fois. Il n'y avait pas de mots pour qualifier ce que j'avais ressenti, lorsque nos deux corps n'avait fait qu'un. Ça n'avait pas été si douloureux que ça, j'avais eu peur pour rien, et, au final, ça nous avais fait plaisir à tous les deux.

Peter: Oui et toi?

Je passa mes doigts à l'endroit où ses canines étaient entrées au contact de ma peau. Le sang avait coulé, mais j'était heureuse. Je n'étais pas accro à sa morsure mais a lui.

Moi: J'ai mal.

Il ria. Un son mélodieux que je ne me lassait d'entendre, surtout au réveil. Un son qui pouvait me rendre joyeuse quand tout allait mal. Le son du bonheur de l'homme que j'aimais.

Peter: Excuse-moi...

Je l'embrassa pour le faire taire. Pour me redresser je dis faire un mouvement de jambes qui me fit mal. Je couina. Pitoyable...

Peter: Ca va? Tu es sûre?

Moi: Oui, oui. T'en fais pas. J'ai juste, pas pensé au conséquences de notre nuit. Ça fait encore plus mal le lendemain. Aïe!

Je venais de me redresser. Oh bon sang! J'allais la payer ma nuit!
Peter se redressa à son tour pour me permettre de me caler contre son torse. J'effleura ma féminité du bout des doigts. C'était humide... Je vous passe les détails. Lorsque je me fus guéri, Peter attrapa mon doigts pour le mettre dans sa bouche, me faisant rougir violemment. Et pourtant il m'avait goûter sous tous les sangles hier soir. Voyant mes joues rougis, il sourit amusé. Depuis quand il était plus assuré que moi? Ah non non non, ça ne le faisait pas du tout. Je reproduis le geste, pour goûter à mon tour le liquide interdit. Ça avait un goût... bizarre... Je grimaça ce qui le fit rire. Et il se moque de moi en plus!

Moi: C'est pas ouf, hein! J'en ferais pas un bonbon.

Peter: Oui, donc pour dire des bêtises pareilles, tu n'as vraiment pas assez dormis.

Il continua de rire. Je pris ma petite moue vexé.

Moi: Arrête de te moquer!

Je lui tapa sur le torse, ce qui le fit arrêter. Il m'enlaca doucement.

Peter: Pardon, mio amore.

J'embrassa doucement son torse.

Moi: Pardon pour les griffures...

Il m'embrassa doucement le front.

Peter: Rien de grave, bella mia.

Je frissonna doucement. Cet homme me rendait toute chose, rien que par quelque mots. On se leva, prit une douche (il ne s'est rien passé, bande de pervers!) et descendit a la cuisine.
Tout le monde y était, y compris Myosotis. Elle me tendit un verre remplit d'un liquide blanc qui semblait flotter dans le récipient. J'ouvris grand les yeux.

Moi: C'est ce que je crois?!

Myosotis sourit.

Myosotis: Ouais, mais savour!

J'attrapa le verre et y trempant timidement mes lèvres. Mmmh... Ça m'avait manqué.

Moi: Dé-li-cieux!

Myosotis ria. Peter s'assit à côté de moi, avec un verre de sang.

Peter: Qu'est-ce que c'est?

Drogo qui fixait avec dégoût le verre remplit du même liquide, que mon frère venait de porter à ses lèvres dit:

Drogo: C'est une excellente question.

Moi: C'est de l'âme. Y'a pas que le sang qu'on sait mettre dans un verre.

D'un coup, Lorie vint s'asseoir sur les genoux de Peter. Elle le regarda avec de grand yeux innocent. Mouais... J'y crois pas...

Lorie: Peter?

Peter: Oui?

Lorie: Si t'es mon frère et que Wira c'est ton amoureuse, ça veut dire que c'est ma sœur?

Je rougis violemment à cette question, et détourna le regards. OH. MON. DIEUX!!! PUTAIN!! PUTAIN!! PUTAIN!!
La petite venait de m'introduire dans la famille. LA PETITE VENAIT DE M'INTRODUIRE DANS LA FAMILLE!!!
Comment je devais réagir? Je devais répondre? Et si je répondais, je repondais oui, ou non?
En voyant le rouge qui m'était monté au joue, tout le monde ria. Je me cacha le visage dans mes mains, au ongles vernis de noir. Avec cette douceur qui m'avait fait tomber amoureuse de lui, Peter écarta mes mains. Il me sourit doucement, puis il me caressa la joue. Ses yeux s'embrassèrent lorsqu'il répondit à sa sœur.

Peter: Non, c'est ta tante.

Je rougis un peu plus, si c'était possible. Lorie me sourit.

Lorie: Donc je peux t'appeler Tata?

J'hocha doucement la tête, alors qu'elle me sautait dans les bras pour m'étreindre. C'est qu'elle a de la force cette petite! Je l'entoura de mes bras. Lorsque, après un dernier sourire, elle sortit de la salle en courant, Drogo m'envoya un sourire arrogant.

Nicolae: Bienvenue dans la famille.

Je courus me blottir dans les bras de Peter, pour qu'ils ne voient pas les larmes qui dévalaient mes joues.
Ils me faisaient pleurer ses cons!
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Voila donc 1095 mots! 1️⃣0️⃣9️⃣5️⃣
Petite émotion qui fait plaisir.😊
Petit moment gênant pour l'écrivain (moi).☺️🤗
Et plein de larmes, de rires et d'amour!😭😂❤
J'espère que ça vous plaît!😘👏

Is it Love ? Peter & Drogo: Tu as changer ma vie.Όπου ζουν οι ιστορίες. Ανακάλυψε τώρα