Is it Love ? Peter & Drogo: Tu as changer ma vie.

Je t'aime : visions terrifiante

Fin du chapitre précédent:

Moi: Donc? Vos plans?

Ils me jetèrent tous deux des regards étonnés.

Moi: C'est comme ça que ça ce passe dans les filmes. Vous êtes censé m'exposer votre plan dans un long monologue ennuyeux pour ensuite me tuer.

Victor s'agenouilla près de moi.

Victor: Oh mais tu mourreras bien plus tôt que tu ne le pense.

Je lui cracha au visage. Ce fût Eret qui prit la relève. Il saisit mon poignet pour y déposer une surface brûlante. Je gémis.

Eret: C'est dommage, il était si divertissant.

Victor ria. Le dernier rire que j'entendis.
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PDV: Peter

???: Aaaaaah!

Ce cri déchira la nuit. Un cri de terreur pur qui me fit froid dans le dos. Ce cri allait amené tant de problèmes, mais pour l'instant mon seule problème était le corps frissonnant contre moi.
Je me redressa, en sursaut. Mon premier réflexe fut de fixer Wira. Elle dormais, mais était tremblante. Sa tête se tourna vers moi. Ses sourcils étaient froncés par la douleur. Ou par la peur. Je caressa doucement sa joue.

Moi: Mon amour. Wira. Tout va bien, chut...

Elle ne se calma pas, au contraire. Je la redressa et vint la serrer dans mes bras. Un nouveau gémissement s'échappa de ses lèvres. Incomsiement elle s'accrocha a mon haut. Elle tremblait toujours autant si ce n'était pas plus. Ca peau était plus pâle que d'habitude, si c'était possible. D'une pâleur translucide. Ses griffes s'allongèrent pour venir se planter dans ma peau, à travers le T-shirt. Elle me faisait mal, sans doute aurais-je sentis la douleur si je n'avais pas un autre problème entre mes bras.

Moi: Calmati il ​​mio cuore. Tutto sta andando bene.

Durant quelque instant, ses frissons se calmèrent, elle enfouit son visage dans mon cou. Elle était réveillée, elle bougeait en parlait comme une personne normale, si on mettait de côté les frissons. Mais elle était à la fois plongé dans sa vision. Entre le vrai et le faux, le passé et le futur, la vie et la mort. Elle était avec moi sans vraiment l'être, et je ne pouvais rien y faire. Je détestais cette sensation.
La porte s'ouvrit en claquant. Nicolae, Cameron et Drogo. Cameron fut le premier à s'avancer. Son regard exprimait plus que de l'inquiétude. Il posa la pointe de ses mains sur la tempe de Wira. Elle sembla se détendre d'un coup. Elle semblait vide, neutre, blanche. Comme ci elle n'avait aucun problème. Mais son visage ne représentait vraiment rien, ce qui était effrayant.

Cam': Rallonge-la.

Ses yeux s'étaient fermés. Il semblait vivre chaque pensé de sa sœur. J'obéis. Cam' s'écarta pour chuchoter quelque chose à Nicolae. Il n'aurait pas dû. Alors qu'il s'écartait, Wira se redressa. Puis elle ouvrit les yeux. Des yeux blancs. Luisants. Terrifiants. Elle nous fixa un a un, de ses yeux si étranges. Lorsque son regard se posa sur son frère, puis sur Drogo, un sourire malsain apparut sur ses lèvres. Puis elle regarda face à elle. Ses yeux redevinrent bleus un cœur instant et son sourire se fana lentement. Elle m'envoya un regard désespéré. Un regard qui me brisa le cœur. Puis elle se laissa tomber dans les draps, prise de violent frisson, les yeux révulsés. Ce fût cette fois Nicolae qui agit. Il posa doucement ses mains sur celle de Wira. Puis ouvrit de grands yeux. Wira arrêta immédiatement de trembler. Ses yeux s'ouvrir en grand, pour fixer tout ce qui était autour d'elle, comme ci c'était la première fois qu'elle venait dans ma chambre. Elle avait une expression d'enfant émerveillé, ce que j'orais trouver adorable si la situation me le permettait. Nicolae la fixa lentement, tout en la lâchant.