Who do you love ? [TERMINÉE]

Chapitre 25

( Chapitre assez triste, si vous aimez être encore plus plonger je vous conseille d'écouter ça avec une musique avec un thème assez mélancolique. Pour celle et ceux qui n'auraient pas d'idée vous pouvez retrouver un lien juste au dessus ! Bonne lecture. )

Je fis un pas en arrière puis deux, et s'en suivi d'autre. Je sentis dans mon dos Ceylan courir vers moi tandis que mon ouïe avait aperçu le bruit de ses os craquer. Que lui arrivait-il ? Je ne pus m'empêcher de jeter un œil dans mon dos et j'avais vu juste. Un grand et majestueux loup avait prit place. Il était terrifiant.

Il se rapprochait de plus en plus de moi, j'avais peur et la seule question que je me posais c'était de savoir s'il allait me tuer ou pas. Il émanait quelque chose de féroce qui sentait pas bon pour ma pomme. J'avais peur. Je haïssais ça, de me sentir telle une brebis sans défense incapable de faire autre chose que fuir. Une sensation déplaisante dans ma gorge s'annonçait, c'est comme si un couteau râpais l'intérieur de celle-ci.

Je le vis soudainement sauter sur moi et ce moment d'inattention me provoqua une chute phénoménale au sol. Je l'avais accompagné d'un effrayant crie. On pouvait clairement imaginer toute la peur que me provoquait cet homme au dessus de moi. Dû moins, son loup qui m'avait bloqué de tout les côtés.

Je me rendais seulement compte, maintenant que j'étais sous forme humaine, que nous les loup étions vraiment impressionnant. Ses magnifiques yeux rouge et argenté m'analysaient et épluchaient chaque détails et chaque partis de mon âme.

Il leva son museau vers le ciel et lâcha un effroyable hurlement, remplis de haine et de douleur. Ceylan souffrait et au lieu de me terroriser ou bien de me satisfaire, cela me brisa. J'avais espérer qu'il puisse ressentir toute cette torture intérieur que moi-même j'avais connu et connaissais encore.

Maintenant que c'était le cas, cela ne me faisait pas l'effet que j'avais souhaitée éprouver.

Dans mes songes, je ne m'étais pas rendu compte qu'il s'était levé et avait repris sa forme humaine. Je le suivis et me levais également. Ceylan était nue devant moi et je ne pus m'empêcher de trouver son corps fascinant. De plus, la lune se fit un malin plaisir de rajouter une couche à cela, en projetant des rayons de sa lumière sur lui qui faisait ressortir la couleur de sa peau d'une façon merveilleuse.

Il s'avança dans ma direction rapidement et me pris par le cou de manière agressive, avant de me pousser contre un énorme rocher. Heureusement qu'il y avait de la mousse sur celui-ci, ça avait atténués la douleur dû au choque. Sa prise était juste assez forte pour m'empêcher de respirer correctement. Je tentais désespéramment de retirer ses mains.

Pourquoi il agissait comme telle alors qu'aujourd'hui encore il m'avait emmené à Sydney pour me remonter le morale ? Pourquoi il voulait maintenant me le descendre ? Est-ce que j'étais une sorte d'attraction pour lui ? Une larme se fraya un chemin sur ma joue.

- P-Pourquoi ? Je demandais difficilement.

- Ça me rend fou. Il répondit d'une voix différente, elle était plus grave et moins naturel. Ce lien me rend dingue, je ne veux pas de toi alors pourquoi j'ai toujours envie de te ..

Il ne finit pas sa phrase et ça me frustrait, qu'avait-il envie de faire ? Il y avait un profond combat entre lui et lui à l'intérieur. Je pouvais le voir dans son regard et sa façon de respirer. Pendant ce temps, sa prise sur mon cou se serra de plus en plus. Je tentais de le taper avec mes pieds mais rien n'y faisait. Mon corps s'affaiblissait petit à petit. J'allais lâcher.

Je commençais à perdre connaissance et cela dû être le déclic chez lui car il me lâcha précipitamment. Je tombais à terre incapable de me relever à cause du manque d'oxygène dans mon corps. Mes mains accrochées au sol se tenait fermement au peu d'herbe qu'il y avait. J'avais beau avoir la tête baissé, je savais que son attention était toujours sur moi. J'avais envie de vomir et cela ne tarda pas. Je venais littéralement de lâcher toutes mes tripes sur mes genoux car je ne pouvais toujours pas faire le moindre mouvement.