une journée pas ordinaire

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Arrivant devant la porte de l'hôpital comme une diablesse le souffle court. L'âme flottante encore sur les flammes de ma colère, le cœur déchiqueté et toujours pas cicatrisé, survolant les charbons ardent de la détresse. Je ressens celui de la déception aussi et surtout de la souffrance. Je file sans salué qui que se soit et sans demander mon reste dans la salle de sport de l'hôpital. Arrivant au vestiaire je suis soulagé de voir pas âme qui vive, je prend mes affaires de sport dans mon casier puis cour pour me changé dans une des cabines. Je suis surtout pressé de me défouler sur un sac de frappe pour me vider de mon adrénaline qui court comme une rivière enflammé dans mes veines.

Je frappe gauche, droite depuis une demie heure sans m'arrêter en essayant vainement d'évacuer ma colère. Concentré sur le souffre douleur en face de moi, je n'entend pas les pas qui se rapproche de moi. Obnubilé par mon obsession à frapper fort, je grogne, rumine et marmonne entre mes dents quand une voix d'homme m'interpelle :

- Eh toi…. le docteur Kanstini cherche une certaine Emeline Duval, je crois et une certaine bombe qui se prénomme Justine la cherche aussi dit-il une voix suave vous êtes presque toute bonne dans cette hôpital, on sait pas déjà vu la dernière fois. De loin vous étiez bonne tout les deux mais de prêt waouh dit le bikers en se rapprochant doucement de moi.

Je suis figé dans le mouvement amorcé pour frapper, mon poing reste fixe dans les airs; un moment avant de retomber contre ma cuisse, papillonnant des yeux pour revenir à la réalité. Je suis estomaqué par son franc parlé. Je reprend une posture normale, les bras croisés sur mon buste sans bouger d'un millimètres, attendant la suite. En voyant le bikers qui gardé les motos tous à l'heure à présent devant moi a m'observé.

- Qu'est ce que tu veux ? j'aboie

Il me jette un regard charmeur et salace que je repère immédiatement et rétorque :

- Arrêt

- Eh on se calme, mon président m'a demandé  de chercher une certaine Emeline Duval, je te l'ai dit le docteur Kanstini à besoin d'elle !

- Pourquoi ? dis-je à présent curieuse d'en savoir la raison.

Le bikers a pas le temps de parler que Justine arrive en trombe dans la salle.

- Leur vp à eu un accident dit Justine en rentrant dans la salle à grande enjamber surexcité.

Je me tourne vers Justine pour lui faire face les bras toujours croisé, en exposant mon dos à l'autre; qui au ton de sa stupéfaction comprend enfin que c'est moi Emeline Duval

- Qu'est ce que tu veux que sa me face hm

J'entendis un grognement de reproche derrière moi et vit Justine grimacer en regardant le mec au dessus de mon épaule droite puis me regarde enfin intimidé et inquiète

- Emeline m'engueule Justine

Je me retourne et dit au mec qui nous observe avec un sourire furieux. Je lève les yeux au ciel et grogne :

- J'arrive !!!

Ne laissant pas le soin à personne de pouvoir en placer une, je me tire en petit foulée vers les vestiaires de la salle de sport pour me changer en vitesse et rejoindre ce docteur " putain jamais tranquille ici ".

Une fois mon pyjama d'hôpital et ma blouse en place. Je rejoins le docteur Kanstini qui m'attend. Et à son visage, je voie qu'il est heureux de me voir et s'excuse même avec empressement de m'avoir déranger pendant ma pause. 

- Désolé Emeline dit le docteur en me montrant le chemin

- T'inquiète alors topo sur le patient dis-je en le suivant

- Il est au bloc et nous attend. Une balle est logé non loin de la colonne vertébral, il faut voir en la retirant les dégât qu'elle à engendré. Allez vite Emeline,  je tiens pas à le perdre celui-là.

[ Tu m'étonnes ]

Lui et moi longeons rapidement le couloir, où plusieurs bikers attendent et se tournent vers nous comme un seul homme pour nous regarder les yeux remplie d'espoir pour leur Vp mais nous passons devant eux. La salle d'attente est blindé de mec sans un regard pour ses bikers. Nous continuons notre route sans nous attardé, trop pressé pour de nous occupé de notre patient qui attend que nous pour être soigner. Nous rentrons enfin dans une petit pièce attenante au bloc pour se préparer .Kanstini et moi on se prépare en quatrième vitesse pour évité au bikers endormie sur la table d'opération plus de séquelles.

- Et c'est partie dis-je couverte de la tête au pieds .

Le docteur Kanstini acquiesce et me suit en rentrant dans la salle d'opération les mains levé devant nous pour que nos mains n'ait aucun contact avec quoi que se soit. L'homme que je voie allongé sous anesthésie me fascine et bloque un instant sur un son grand corps allongé sur le ventre devant nos yeux ,remplie de tatouage, la partie du corps où on voie l'impact est bien visible.

Un champ opératoire a été fait autour de la plaie par les infirmières qui nous assiste et une fois les gants de protection mit le docteur Kanstini ne perdit pas de temps pour inciser la chaire pour récupérer la balle enfoncé profondément dans les chaires du bikers tout en veillant à ne toucher aucun organe vitale et arrêta le sang qui en sortait puis décide d'introduire une caméra pour voir les dégâts occasionnée par la balle.

- Ah c'est fâcheux dit-il

Moi qui l'assistait dans cette opération attendant son verdict

- je vous écoute marc

- La balle a heureusement rien dégradé mais a créés un superbe hématome qui bloque un muscle

- Merde dis-je comprenant ce que sa implique

- Ne t'inquiète pas Emeline à sont réveil, je serai à tes côtés pour lui expliquer. Tu seras pas seule

- Ne t'en fait pas, je suis une grande fille ! Je saurai me débrouiller avec lui !

- Peut-être mais c'est moi qui est retiré cette balle donc je te lâche pas et c'est non négociable !

- Ok, n'insistant pas en voyant le regard déterminé du docteur.

Nous vérifions une dernière fois, la plaie pour repérer un éventuel épanchement de sang et ensuite ses fonctions vitale.

Comme tout allait parfaitement bien pour le patient, nous quittons la salle d'opération pour rejoindre la pièce où nous nous étions habillé pour délaissé nos vêtements souillé de son sang. Une fois fait nous nous dirigeons vers les douches pour nous débarrasser de ce qu'il restait. Nous remettons nos affaires propres et nous nous dirigeons vers une salle de réunion pour débattre de la suite pour le patient que l'on venait d'opérer.

Nous avions demandé une dernière radio pour avoir une vu d'ensemble sur sa blessure et l'hématome que la balle a créé en s'introduisant.

Pendant que Kanstini et moi parlions de la suite des événements, une infirmière nous apporta la radio que l'on mit sur un panneau lumineux pour mieux les regardés et je vis en gros plan cette hématome qui bloque le muscle qui permettait au jambe de fonctionner correctement.

[ Putain c'est bien ma veine tiens] me dis-je. 

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Corrigé

renaissance ( Corriger )Wo Geschichten leben. Entdecke jetzt