discussion à coeur perdue

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Arrivé presque en haut des marches en bois brun, à mis chemin du palier supérieur. J'entends encore quelques exclamations salace de la part de certains, j'aurais dû m'en douter de la part de certains bikers. Tout dans les muscles et rien dans la tête, je me relève en forçant sur mes abdominaux et râle :

- A sa suffit ! Et toi Justine tu me le payera, je cris à moitié étouffé par ma position.

- Quand tu veux ma belle ! Rigole t-elle.

- Et toi homme de cromagnon dis-je à Jex, tu compte me laisser descendre un jour ou...pas

Dis-je en matant son cul d'un coup d'œil vers le bas.

Je reçois une autre claque sec sur mon postérieur, qui me fait grincer des dents et devié mon regard.

- Put.. arrête sa ! J'exige sèchement.

Une autre claque et je grogne agacé les mâchoires contracté, décidant de donner quelques coup de jambe pour l'obliger à me lâcher.

- Crétin je crache, descend moi !

Il rit

- Tu la chercher et non dit-il en faisant référence au deux claques.

- T'avise pas de recommencer dis-je d'une voix qui a légèrement monté dans les graves par ma gorge noué.

Arrivée sur le palier, il me laisse glisser contre lui. Je n'ai pas vu sa main qui me tient par le bras et perd pas de temps sans doute pressé de s'expliquer et l'autre dans mon dos en me traînant vers une des portes qui se trouve dans le fond du couloir.

Je n'ai pas d'autre choix que de suivre le mouvement jusqu'à la porte, qu'il ouvre rapidement et il me lâche le bras me fait rentrer en me poussant d'une main à plat entre mes omoplates avec une légère hésitation et je l'entends murmurer derrière moi d'un ton hésitant.

- C'est ma chambre quand je dors ici au club mais sinon j'ai mon propre logement dit-il avec un air angoisser le coin de sa lèvre tirer vers le bas.

Je l'entend arrivé à mes côtés au bruit de ses bottes alors du coin de l'œil je l'observe. Il a les lèvres scellé et une expression bizarre qui flotte sur son beau visage. Le regard fixe sur un point devant lui, n'osant pas le reporter sur moi. Je redirige mon attention vers cette dite chambre et j'y voie rien d'anormal hors mis que c'est...le foutoir,

- Quoi dis-je en me tournant vers lui les bras croisé.

- .....

Je sais à quoi il pense à présent en balayant la pièce du regards < les brebis >.

- Il y en a eu beaucoup ?

Il se tourne perplexe les sourcils touchant presque le haut de ses cheveux.

Il secoue sa tête dépité car il a compris

- Non je mets un point d'honneur même bourré à jamais les baisés ici. Mais sur le coup j'y ai pas pensé, c'est une fois devant la porte que sa mets revenu dit-il grimaçant.

- Pourquoi ?

- Pourquoi quoi ?

- Tu me dit sa.

- Je te le dit râle t-il.

- Quoi, je ne comprenant rien.

- Que tu es à moi bon sang ! Merde Emeline, je veux pas que tu crois qu'avant toi; j'ai baisé toutes les brebis ici ! J'essaye d'être franc.

- Ok perplexe malgré la petite pointe de jalousie qui se pointe dans mon cœur.

- Et pourquoi tu l'es à jamais ramené ici, maintenant curieuse de savoir.

Je sais qu'il a eu une vie avant moi

- Un petit coin de tranquillité pour moi, un endroit ou je peux réfléchir sans être importuné..et maintenant pour toi.

Je pince mes lèvres pour retenir mon rire, mon sourire de soulagement mais lui ne sais pas et croie que mon expression reflète autre chose de plus violent comme si je ne croyais pas un mot de son aveu. Alors que si,

Jex à un défaut quand il ment, ses doigts se contorsionne entre eux presque comme un gosse ferait en croisant les doigts quand il baratine ses parents.

- Arrête de te torturé comme ça Jex, crache le morceau. Qu'est-ce qui te fait flippé comme sa hein ?

J'entends un gros soupire et il ouvre la bouche toujours sans me regarder mais le stop.

- Regarde moi quand tu me parle, là ce que tu fait c'est pas vraiment virile je trouve raille-je.

Jex s'offusque et tourne la tête vers moi, les yeux grand ouvert et la bouche aussi dans une expression hilarante.

- Ah ouais souffle t-il moi pas virile dit-il en déplaçant pour être derrière moi.

- Bah là non franchement pas le taquinais je.

Il se colle à mon dos, cette fois au passage. Je sens sa virilité frôlant mon bas en tissu.

- Ok dit-il d'un ton énigmatique.

Avant que je comprenne, je me retrouve prit à bras le corps et il nous fit tombé sur le lit avec un Jex me surplombant de tout sa hauteur, les yeux assombri par le désir.

- Et là gronde t-il excité suis toujours pas virile

J'affiche une moue pas convaincue par son geste, digne d'un homme de néendertale en plissant des yeux donnant l'impression dit réfléchir sérieusement. Alors que lui au dessus moi, je suis allongé en travers du lit. Je l'entend râlé en se mettant bien au dessus de moi en s'aidant de ses coudes pour pas m'écraser et moi je me fous de sa gueule. Quand tout à coup, je sens une main s'abattre sur mon entre jambes, sa paumes de main couvrant entièrement mon sexe, ce qui me fit sursauter. Et vu la tête que je fait là, ma bouche sort un < Oh > , jex éclate de rire a mon expression verbale.

- Alors dit-il en me caressant d'un geste possessif à travers le tissu.

Ce fut trop, ma tête partie en arrière conquise et encore on est pas à poil. Sa tête penché, ses lèvres coller à mon cou se promenant jusqu'à ma lobe d'oreille et glissant en dessous.

- Dommage va falloir que tu enlève ce jeans dit-il comme une évidence.

Sentant sa langue me lécher, une chaleur comblat mes joues pour descendre plus bas dans mon intimité.

- Aaah bon bafouillante.

- Mmh mh dit-il charmeur.

En promenant ses doigts vers ma braguette, la main tremblant d'excitation qui finit au bout d'un moment à descendre la fermeture éclair et sauté le bouton.

Je soulève mes hanches en m'aggrippant à mon tour à ses bras pour pas perdre l'équilibre la tête penché en arrière les yeux dans le vague, quand une bouche masculine s'abbat sur mon sexe me faisant pousser un petit cris de surprise.

Je relève ma tête surprise et je voie deux billes incandescente m'observé avec malice pendant qu'il me dévore en maintenant les cuisses écartés en les entourant de ses deux bras.

- Jex soufflais-je, c'est pas du jeu !

- J'ai jamais dit que j'étais fair-play quand il s'agit de remporter une victoire, après juré. On discutera mais là, j'ai envie de te faire plaisir et à moi aussi par la même occasion.


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Corriger par jess

renaissance ( Corriger )Donde viven las historias. Descúbrelo ahora