renaissance ( Corriger )

délivrance.s

- Émeline siffle Julien les dents serré :

Quand j'entendis sa voix percé d'inquiétude et de rage, comprenant tout d'un coup ce qui allait lui tomber sur le coin de la tête. Dans les minutes qui allaient suivre, je souris jusqu'aux oreilles fière d'avoir réussi à le déstabiliser. En me retrouvant face à lui, les bras croisés en attente de la suite et voyant bien qu'il en avait pas fini et l'attente ne dura pas.

-  Tu m'en veux autant que ça alors Éméline, ça fait partie du passé maintenant passe à autre chose. On était jeune et con à ce moment-là dit-il pour essayer de me convaincre.

Jex et mes deux amis eurent un hoquet de dégoût et pour d'autre des insultes marmoné dans une barbe inexistante.

- Julien, Julien tu es vraiment trop con, ça oui grinçant des dents. Le jour de ta naissance, on t'a oublié pour la distribution d'un cerveau, où sa se passe comment ? Tu sais il y a un truc que j'aimerais beaucoup faire, pour que tu comprennes. Te foutre à poil avec marqué petite bite sur ton front et derrière ton dos gros queutard au marqueur indélébile et puis te traîner dans tous l'hôpital dans un tenue totalement humiliante pour toi... Genre dis-je en faisant semblant de réfléchir, en tutu rose bonbons par exemple ! Je suis persuadé que ça te plairait franchement beaucoup, que tout le monde te voit la quéquétte à l'air avec des inscription sur le corps et entouré de tulle rose avec les chaussons de danse,! S'il vous plait dis-je de plus en plus me rapprochant de lui inexorablement, on verra après ce que tu en  penses dis je me moquant de lui. On verra si après ça tu auras toujours envie de moi après cette expérience dégradante et que tu n'es pas envie de te venger quand tu seras bouffer par la haine, hein t'en pense quoi ? 

- Pourquoi te comporter comme une vraie garce alors que je te demande juste une deuxième chance, je sais que j'ai merdé grave mais ne peux-tu pas passer à autre chose.

- Tu sais pourtant que tu m'as toujours plu et attiré que pour moi. Tu as toujours été la femme la plus sexy du monde mais à ce moment-là, j'étais trop con pour m'en apercevoir. 

- S'il te plaît essayons de mettre les choses à plat toi et moi et repartons à zéro m'implore t-il.

- Non mais ça va pas, tu t'entends parler des fois ! Tu dois être sadomasochiste où ta pris tes rêves pour des réalités. D'où je reviens avec toi non mais sérieux déjà d'une j'ai déjà un mec mais au moins c'est un vrai homme et de deux même si j'étais célibataire.

- Jamais je ne serais retournée avec toi, faut vraiment être taper sur le ciboulot pour faire ça ! Je sais pas ce que tu as consommé avant de venir mais elle devait être sacrément bonne dis-je mi énerver mi amuser, en le frappant durement à la mâchoire. Je lui crache à la gueule pendant qu'il se remet durement de la méchante droite que je lui ai donné et moi trop dégoûté. Je fait demi-tour et quitte le ring sans un regard pour personne trop énervée pour m'exprimer avec qui que ce soit. De peur de blesser quelqu'un, je baisse la tête et regarde mes pieds une fois que j'ai quitté la salle sous les cris alarmé de mes amis et de mon mec. Je cours me réfugier dans mon bureau en fermant la porte à clé, je fais les cent pas en essayant de retrouver un peu mes esprits en tournant en rond dans mon bureau. Les deux mains sur ma tête à me triturer les cheveux dans tous les sens.

Je sais pas combien de temps, je suis resté dans mon bureau à essayer de me calmer mais quelqu'un frappe à la porte d'un coup sec alors je m'arrête et attends de voir qui se cache derrière cette porte.

- Ouvre bébé c'est moi ! Tonne Jex. 

- Laisse-moi tranquille, je te rejoindrai au QG !