un secret bien gardé

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Jex

- Jex, j'ai une bonne nouvelle dit Justine :


Mes yeux allaient de Geko à elle, soudain impatient et fébrile. J'insiste en silence de peur d'être déçu que tous mes efforts pour conquérir cette teigne soit vain.

Et soudain ils se mettent à rire en se foutant ouvertement de ma gueule, je grogne de mécontentement ce qui les fait rire encore plus.


- Bon arrêtez de vous foutre de ma gueule et vas-y crache le morceau ! je râle


- C'est bon, c'est bon souffle t-elle pour reprendre son sérieux. Je viens te chercher derrière le dos de ma meilleure amie alors commence pas dit-elle soucieuse. 


Je vis dans ses yeux de la tristesse et je compris soudain qu'elle essayé juste de cacher son angoisse sous un couche d'humour pour cacher son désarroi de mentir à Éméline. Alors je me radouci en voyant ses yeux commencé à briller sous ses cils, des larmes apparaissent.


- Désolé je voulais mais j'ai tellement hâte de guérir.


- Sa je le sait qu'est ce que tu crois ? 


Geko qui était resté silencieux, s'approche d'elle et la serre dans ses bras en lui faisant un baisé sur sa tempe qu'elle acceuil en lovant plus dans ses bras. Depuis il est tendre lui, je ris intérieurement en les voyants faire et surprend le regard de Geko qui me fait comprendre qu'il m'expliquera plus tard.


- On y va dis-je soupçonnant, ses deux là de déjà savoir ce qui m'attend avec le docteur kanstini.


.......


Nous longeons rapidement le couloir puis Justine m'apprend que Eméline ne travaille pas aujourd'hui et qu'on va pouvoir s'exercer un peu plus que d'habitude en m'assurant qu'elle venait jamais pendant ses jours de repose sauf cas exceptionnel, espérons qu'il y en es pas alors. 


- Très bien dis-je déterminé. 


Elle m'apprit aussi qu'hier, elle avait pas réussi à la joindre. Inquiète elle s'était rendue en bas de chez elle et avait vu de la lumière dans le salon ce qui la rassuré mais en mon sens pour moi. Sa voulais rien dire mais je me tue pour pas la faire paniqué plus qu'elle l'était déjà.

Arrivé devant la porte, nous ne mettons pas longtemps à rentrer après avoir frappé à la porte du bureau.


Le docteur Kanstini avait l'air très pressé, il était déjà derrière son bureau assis sur son fauteuil; Il avait l'air très nerveux et sans perdre à l'instant me dis :


- Désolé d'être aussi pressé, on m'attend autre part alors je vais pas y aller par quatre chemins, votre hématome est presque résorbé. Ce n'est qu'une question de temps maintenant .

renaissance ( Corriger )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant