rééducation périlleuse

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Le bute de la rééducation c'est de réapprendre à marché.

- Oui ou non.

Moi j'ai décidé de le faire mais avec un petit soupçon de sadisme histoire de lui faire payer ses mains baladeuses, on va voir si il va recommencer après ça


[ Qu'est ce que tu mijotes ? ]

《- moi rien voyons 》

[ Oh la menteuse ]

….

Je vais l'aider mais d'une manière plus personnelle, plus...il va en baver croyez moi même si au fond. Je veux qu'il reprenne ses aptitudes et qu'il dégage vite fait.

Faut être honnête quand même ( juste avec moi même personne d'autre), c'est un beau mâle avec tout ce qu'il faut là où il faut mais c'est surtout un gros gros queutard.

Vous avez déjà vu vous un mec ou une meuf qui vient juste d'être opérer, il y a à peine 2 jours et se trouve paralysé des membres inférieurs, se retrouver avec une salope entre ses cuisses à la sucer comme un cône glacier italien. Je suis sur qu'elle a dû tellement l'aspirer que sa queue est devenue aussi aride qu'un désert au Moyen Orient.

-  Non mais sérieux où est sa dignité à cette nana, sa me bouffe de voir sa merde.

Il va tellement bander, qu'il sera obligé d'appeler encore une de leurs pute pour se soulager ou pas je verrai selon la situation.

Si il croit que je l'ai pas vu, son pote se ramené avec une nana presque pas vêtu avec des talons vertigineux de 15 cm et repartir au bout d'une demi heure, toute échevelé, hein connasse .

[ Comment elle fond pour pas tomber au fait ]

《 Je sais pas 》

Et après il essaye de me peloter, non mais il rêve debout lui. Ah non non merde couché, ouais c'est sa coucher.

Je me secoue la tête pour revenir a la réalité et avance gentiment l'air de rien avec mon air le plus professionnel, pour cacher mes intentions les plus douteuses et me permettre même de siffloter un petit air joyeux.

Je le voie légèrement tourné la tête vers moi, les yeux plissé en me lâchant pas du regard; moi je l'ignore mes yeux braqués sur tout mais pas lui.

Mais je voie bien qu'il croie pas une seconde à mon manège car sa bouche me décoche un sourire, qui normalement fait fondre n'importe qui; mouillant tout les petits strings au passage.

Alors je tiens bon bordel et ignore son petit air de vainqueur sur sa tronche puis avance droit devant en m'arrêtant devant l'instrument qui sera sa torture pour plusieurs mois. Un sourire sadique au lèvre.

[ Tu lui feras payé sur les barre fixe. ]

Toujours dos à lui, je me lance dans les explications pour ce qui va lui arriver dans les prochains jour le cœur en fête de savoir que c'est moi qui vais m'occuper de lui.

- Bon Jex je vais te mettre entre ses deux barre et tu va essayer à la force de tes bras dans un premier temps à te sortir de ce fauteuil, une fois acquis; on commencera la marche ok.

Je vis qu'il m'écoutait avec le plus grand sérieux, tout en restant calme et serein. Quelques part en moi, sa me faisait plaisir qu'il tienne compte de mes paroles mais j'avais un sérieux doute pour la suite parce-que là. C'était juste la théorie, quand on allait passé à la pratique est ce qu'il sera toujours aussi poser, mystère.

Sans un mot de plus je le mets en position devant les barres et me 

place en face de lui j'attends quelques minute puis je me penche pour pouvoir mettre les freins pendant tout se processus. Je sentais son regard me suivre à chacun de mes mouvements me brûlants la peau au passage et je décide de l'ignorer en chassant de loin cette sensation de chaleur qui grimpe en moi comme un feu de forêt imaginaire.

Je me replace devant assez proche mais pas trop pour lui laissez un minimum de liberté dans ses mouvements.

L'aider oui mais l'assister non, ne sachant pas comment il le prendrais alors du menton. Je lui montre les barres, il tourne la tête et son regard revient vers moi me faisant comprendre qu'il a compris. Je le voie lever les bras pour attraper les barres de ses deux grandes mains calleuse pour commencer l'exercice. En les regardant sans un mot, je me perds dans mes pensées pendant que lui fait son possible pour se soulever. Mon subconscient par en vadrouille vers des contré pas très catholique en imaginant ses belles paluche se promener…. 《 STOOP!!》

Je me rabroua rapidement en secouant la tête et reviens a l'instant présent en le voyant galéré, sa me fait chier surtout quand je lis de la colère dans ses yeux dans chier autant. à cette vue mon cœur qui n'est pas en pierre se remplie de compassion pour lui mais je garde le visage de l'indifférence. Je veux pas qu'il crois que j'ai pitié de lui, je m'approche l'air de rien, les bras et mes mains le long du corps mais il me stop entre deux souffle en grognant sa désapprobation et rien qu'a son regard. Je sais que je dois pas trop intervenir.

- C'est mon métier, tu sais

- Rien à foutre reste ou tu es ! Ou barre toi, je m'en tape dit-il durement !

Sa réflexion me blesse mais me ramène vite sur terre, je ravale ma hargne car je comprends après les années d'expérience que les mots qu'il a prononcé, ne sont pas dirigé totalement contre moi alors je l'observe s'escrimer comme un beau diable rageant entre ses lèvres, quand Geko et Justine rentre dans la pièce à leur tour.

Je tourne un peu la tête vers eux sans totalement le quitté des yeux < on sait jamais > et leur fait comprendre de pas bouger d'un signe de main autoritaire, je voie bien au regard de Geko qu'il est emmerdé par ce qu'il voie et Justine le tire vers elle pour lui parler à l'oreille discrètement. Elle me connaît et elle sait comment je fonctionne. Geko se relève puis acquiesce en me regardant avec un avertissement dans ses yeux que je n'en ai que faire mais reste sagement à sa place. Et c'est à se moment qu'une idée me vient en tête, c'est Risqué mais qui tente rien n'a rien alors je me lance frondeurs. Je croise les bras et me pare d'un sourire moqueur.

- Bah alors Ferguson, on a du mal dis-je à haute voix pour qu'on m'entend bien.

Mes mots font mouche car je le voie s'arrêter, les yeux exorbité et une rage s'en précédent s'affiche sur ses traits, les mains agrippant férocement c'est dernière, la bouche déformé par un rictus mauvais me crache a la gueule

- Tu. ne le prononce...plus jamais...ta bien compris saloperie de kiné

Je hausse les épaules d'indifférence et continue :

- Un problème pour te lever, je croyais qu'un homme comme toi en avait dans le ventre...je me serais trompé alors dis-je railleuse !

Il hurle de rage en lâchant les barres et cherche à présent à desserrer les freins de son fauteuil dans des gestes désordonné et impatient. Mais il est tellement hors de lui qu'il n'y arrive pas et hurle sa colère de plus belle rouge comme un coquelicot.

Moi je reste stoïque à l'observé quand je sens la présence des deux autres qui 

était jusqu'à maintenant silencieux et une bouche non deux bouche s'approche et me disent chacun leurs tours :

- T'y va fort là, ma belle dit Geko

- Emeline tu es folle ou quoi ? il va te tuer !

- Mais non vous inquiéter pas

Au moment ou je dis sa Jex hurle

- Raaaah vient m'aider bordel

On se stop et nous trois tournons la tête vers lui perplexe

- Pourquoi tu voulais pas tout a l'heure


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Corriger par amie jess

renaissance ( Corriger )Where stories live. Discover now