bras de fer dans un hôpital

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Jex

Putain cette fille je vais la tué !  Moi un gosse je vais lui faire voir moi si je suis un gosse, fulminant de colère je serre les poings en la fusillant du regard. Pendant que mon frère et président rigole à gorge déployé à mes côtés posant une main calleuse sur mon épaule, plié de rire à en pleurer entre deux.

 Il dit :

- Putain celle-là je la kiff bravo Emeline

- Bon c'est pas que je m'ennuie mais j'ai d'autres patients alors je repasserai plus tard !

Geko et moi la voyant fuir de toute jambe, restons étonner de la voir partir aussi vite mais je m'en fou car dans ma tête les questions fusent, je n'avais qu'une hâte c'était de me retrouver seul avec Geko pour en savoir plus sur elle car je sais qu'il a dû enquêté en apprenant qu'elle sera ma kiné. Questions de sécurité en cas où un ennemi se glisserai parmi eu pour me tuer, alors on joue la sécurité et on se renseigne sur tous ceux qui s'approchent de près ou de loin de l'un des membre du club. Bizarrement, quand je la vois je ressens pas le danger, en général mon sixième sens s'anime quand quelqu'un de dangereux nous côtoie. Nous restons sur nos gardes malgré tout, mais pas elle je le sens au plus profond moi comme une évidence, même si j'ai envie à cette instant de l'étriper cette peste alors sans plus attendre je lui demande un brin nerveux pour ce que je vais découvrir sur cette nana que je connais pas.

- Qu'as-tu découvert sur elle ?

- Ouh là beaucoup de choses par très glorieuses, dit-il nerveux

" Nerveux " une première venant de lui.

- Dis toujours.

- Comme elle n'a pas toujours été ce que t'as vu aujourd'hui… Elle était pas gauler comme ça en gros, elle vient d'une famille d'obèse. D'ailleurs son père en est mort infarctus dû a ça et à ce que j'ai compris aussi, elle a fini ses études dans la souffrance d'être harcelé par autrui quand ils ont appris le décès de son père du à son sur poids, là elle a vécu l'enfer mon frère, elle a subit trop de souffrance. Voilà mon frère tu sais tout ce qu'on a pu découvrir, le reste on ne sait pas, dit Geko un brin désolé de pas m'en dire plus, Sinon une fille sans histoire qui fuit son passé.

Silencieux depuis le début de son récit, je serre les poings à l'entente de certains passage et demande : 

- T'as des photos ?

- Oui mais elles sont au club, je te l'ai ferai amener demain si tu veux par un prospect.

- Oui merci mon frère je veux bien, dis-je enjoué plus que d'habitude ce qui me fait tiquer.

Geko me regarde intrigué mais dit rien de plus ce qui me soulage, car d'habitude c'est pas mon genre de m'inquiéter pour une nana, en général quand une me plaît je la baise point à la ligne et basta.

Mais quand je l'ai vu la première fois devant l'hôpital avec son ami et collègue je l'ai trouvé bandante pour une nuit de débauche rien de plus. C'est vrai elle a un corps de ouf cette nana mais apprendre les réminiscence de son passé me mets une claque mentale prodigieuse comment des gens peuvent t-il être aussi cruel ? Ce servir d'une faiblesse s'engouffrer dedans et torturé mentalement quelqu'un juste pour le plaisir de faire souffrir, je trouve ça moche et dégueulasse.

Vous devez vous dire ce type et taré ou déranger, un biker avec des états d'âme. Même si nous sommes pas des enfants de cœur qu'une partie de nous est sombre, nous sommes quand même des êtres humains avec un cœur et des sentiments même si il est entaché par notre passé et par les choses illégal que nous faisons.

Alors ouais ce que m'a dit Geko me touche, mais je sais aussi que je dois le garder pour moi, car pour le moment c'est ma kiné et que demain j'aurai des photos qui me permettront de voir à quoi elle ressemblait à l'époque et à qu'elle point Emeline a souffert. Mais chaque chose en son temps car j'ai compris une chose en la voyant, c'est qu'elle s'est barricadé dans une forteresse pour plus souffrir alors à moi de lui montré que tout le monde n'es pas aussi cruel que ce qu'elle a connue. Je devine d'avance que ça va être compliqué et ouais cette fille m'intrigue et me plaît même si comme je l'ai dit tout à l'heure elle m'énerve quand elle fait sa tête de cochon, mais je suis pas un sauvage du moins je vais essayer de pas l'être on verra ce que ça donne, pour l'heure je veux juste l'étrangler ou la retourner mh à voir.

Emeline

Dans mon bureau assis sur mon fauteuil la tête entre les mains à râler toute seule, comme une folle psychopathe, si Justine me voyait elle se foutrait de moi me lamentai-je et…

Puis putain j'en marre pourquoi on m'a filé ce patient bordel de merde, bah non faut toujours que ça soit bibi qui s'occupe des chieur à croire que c'est inscrit sur mon crâne dompteuse de casse couille. Putain fait chier merde il a intérêt à m'écouter car biker ou pas je le castre si il me prend la tête, mais bordel pourquoi moi mais pourquoi.

- Emeline j'ai une question à te poser dit Justine sur un ton qui souffre d'aucune discussion.

Je sursaute ne l'ayant pas entendu arriver et déstabilisé, surtout en rogne pour le coup a l'épaule qu'elle vient  de me donner, la foudroyant du regard en attente de ses explications à sa question stupidité, alors voyant mon mutisme elle ne tient plus et camper sur deux jambe les poings sur les hanches me regardant aussi mal que moi à l'instant.

- Tu veux des gosses…. Oui hein évidemment tu en veux qu'elle question, on en a assez parlé toi et moi putain de merde et comment tu compte t'y prendre bordel, gueule t-elle

- Mais tes connes ou quoi avec un homme bien sûr pas dans un labo avec la fécondation in vitro pourquoi cette question stupide ? bougonnais-je ne voyant pas où elle voulait en venir.

Justine secoue la tête agacé, les lèvres pincé jusqu'à devenir blanche tellement elles sont serrées de colère.

- Ah bah c'est sur, mais ça risque pas parce-que dès qu'un mec s'approche c'est mort… écoute ma belle ok tu es tombée sur le connard intégral mais mince ils sont pas tous comme ça merde ,râle t-elle. Bon c'est vrai des cons il y en a un paquets et je suis bien placé pour te le dire vu que j'en fréquente pas mal mais je t'assure ma puce que si tu essaie pas un petit peu comment veux tu savoir, comment veux tu trouvé le bon et être heureuse… Tu comprends ? dit-elle les larmes au yeux prise par l'émotion.

- Oui je comprends, dis-je la gorge noué par l'émotion et déglutit car j'ai peur dès mots qui sont là, qui sont l'exemple parfaite de se que je ressent à l'heure actuel " la peur ".

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Corrigé par jess

renaissance ( Corriger )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant