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Salem Aleykoum 🤍

Salem Aleykoum 🤍

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Ayesha
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L'humain est fait, d'imperfection comme de perfection. Nous sommes tous différents mais nous pouvons aussi être complémentaire ou pas. Mais j'ai appris que si une chose nous vas parfaitement bien, c'est notre relation avec Allah Azawajel.

On a tendance à se dire que seul nos « amis » sont là pour nous mais c'est faux. Notre seigneur est le seul à être là pour nous quoi qu'il arrive. Avant, je faisais partie des gens qu'il comprenait pas l'importance de la religion et pourquoi on doit se remettre à Allah quand ça va, et quand ça va pas.

Je suis loins d'être la fille que j'étais avant, je suis maintenant devenue une nouvelle personne avec de nouveaux, principes et valeurs. Si j'ai bien retenue une chose c'est qu'il n'est jamais trop tard pour revenir à notre créateur.

Je me présente avant de continuer, Ayesha vingt ans, je suis saoudienne, soudanienne enfin la mère de mon père était Soudanienne du désert donc elle était noir et son père lui était soudanien tout simplement du côté « arabo-musulman ». Je suis assez fière de mes origines et de leurs histoires.

Mon père étant métisse et ma mère matte, fait de moi une enfant entre les deux. Une couleur de peau particulière qui m'est impossible de décrire seul, fut un temps, je m'aimais et j'aimais surtout mes différents malheureusement, l'humain est tellement destructeur qu'il a détruit tout ce que je pensais de moi même...

Je ne suis pas fille unique mais j'ai également une petite sœur et un petit frère. Yüna et Yahya des enfants hyperactifs, ils sont tout mon contraire en réalité. Ils sont très sociable et aime le monde telle qu'il est, ils se prennent pas la tête et ont beaucoup voir énormément de connaissance.

Je suis proche de mon frère et ma soeur, ils sont souvent là pour moi mais surtout pour entendre de mes conseils. Ils me racontent leurs vies dans les moindres détails, je connais tout sur eux même leurs plus grosses bêtises. Je suis pas la grande sœur qui crie dessus ou qui les frappes, mes paroles suffisent seulement.

J'ai perdu mon père au pire moment de ma vie, au moment où j'avais le plus besoin de lui il est partie. C'est une souffrance que je garde en moi et que je garde précieusement sans jamais rien dire. Mon père était un homme pieux, il était imam pour vous dire.

C'est lui qui nous a tout appris sur la religion, il nous répétais chaque jour de faire nos prières et quand on le faisait pas, il s'assurait de nous faire une longue leçon de morale pour nous réveiller. On a fini par comprendre grâce à lui l'importance de notre religion.

𝐀𝐲𝐞𝐬𝐡𝐚 : « 𝐥'𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞, 𝐝'𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐞𝐮𝐫 𝐦𝐞𝐮𝐫𝐭𝐫𝐢 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant