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Salem Aleykoum 🤍

Salem Aleykoum 🤍

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Yshem
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Je me lève du lit sans la réveiller, on est arrivé dans la nuit, à cinq heures chez eux mais à onze heures chez nous. Là à cause du décalage horaire aujourd'hui je sais déjà qu'elle vas passé sa journée à dormir donc je vais sortir. Je vais prendre ma douche, je m'habille toute en noir, je met mes chaussures et je sors.

Je prend la voiture que j'ai loué et je démarre, j'envoie un message à mon frère pour savoir s'il est à l'aéroport. Il vas pas venir avec nous mais dans un hôtel, avant il venait parce qu'avec Ayesha on faisait rien, on avait pas besoin de notre « intimité » vue qu'on en avait pas.

Par contre, maintenant qu'on la c'est mort. Je vais pas me retenir de faire ce que je veux juste parce que y'a mon frère, en vrai je m'en fou mais l'autre elle s'en fou pas. Je sors en mode touriste aujourd'hui pour faire du repérage et demain, quand y aura tout le monde, on attaquera les choses sérieuses.

Je reçois un message, je met ma cagoule, mes gants et je change de direction. Je dois allé chercher des sacs et faire des livraisons, j'arrive sur le point de rendez vous et sort de ma voiture, je recharge mon arme et j'avance au milieu.

Paolo - toujours tout seul, mon ami.

- Les sacs.

Paolo - ça fait un long moment qu'on s'est pas vu, tu pointes ton nez un an après et puis tu me donnes des ordres sur mon territoire ?

- Ferme ta gueule, le jour où tu prendras tes couilles dans tes mains et que tu reviendras seul on parlera d'ordre ou pas. C'est soit tu me donne les sacs, soit je me casse et t'es livraisons tu te l'ai met dans ton cul.

Paolo - respecte les anciens.

- Je fais demi tour nique ta mère.

Paolo - mettez les sacs dans son coffre, je veux cinquante pour-cent de la marchandise.

Je monte dans ma voiture et jette mon arme sur le siège passager, passons au chose sérieuse. Je démarre et je passe seulement par des petites ruelles, je descend dans les favélas et laisse ma voiture en haut, je prend mes deux sac sur les épaules et descend.

Je m'arrête devant une en particulier et pousse la porte avec mon épaule, je jette les sacs et les regardes tous. J'ai des hommes partout dans le monde, de toute origine et de toute sorte. Certaines favélas son dangereuse et d'autre non, tout dépend de la où nous sommes. Là par exemple, c'est dangereux mais je suis le patron donc il m'arrivera rien.

𝐀𝐲𝐞𝐬𝐡𝐚 : « 𝐥'𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞, 𝐝'𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐞𝐮𝐫 𝐦𝐞𝐮𝐫𝐭𝐫𝐢 »Where stories live. Discover now