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Salem Aleykoum 🤍

Salem Aleykoum 🤍

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Ayesha
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Le vent tape mon visage, mon étalon qui devient de plus en plus rapide a chacun de mes coups de talon. Un pour-cent, noir comme les ténèbres, lisse qui brille au vue des rayons de soleil. J'attrape mon arque derrière mon dos et vise la première cible, puis la deuxième et termine avec la troisième, je ralenti la cadence et observe Houria.

Houria - arrive a mon niveau ça va me manquer de passer le temps en faisant nos activités quand tu seras plus là.

- Je reviendrait juste pour ça, je t'assure que ça va beaucoup me manquer aussi. C'est la seul chose qui m'apaise réellement.

Houria - sourire j'avais remarqué, aller on recommence ?

J'hoche la tête et elle descend de son étalon pour remettre les cibles correctement et me redonner mes flèches. On a passé une heure avant de rentrer. On peut passé pour des personnes « ennuyantes » et « nul » mais je vous assures que c'est bien.

On à toujours passer notre temps comme ça, avant quand on était petite on venait ici avec nos pères et on les regardaient faire. Puis en grandissant on a reproduit exactement leurs jeux, c'est une autre façon de penser à autre chose et se vider l'esprit.

Quelques heures après...

J'ouvre la grande porte de la maison et monte les escaliers qui me mène à ma chambre. Je prend une longue et bonne douche, je met une longue robe et attache mes cheveux avant de descendre voir ma petite famille.

Yüna - c'était bien ?

- Oui, comme d'habitude.

Yahya - on voulait venir te voir mais on a dû aller faire des courses pour maman.

- C'est pas grave, vous avez fait les courses c'est le plus important. Vous êtes sortie ?

Yüna - non, on est resté pour aider maman à faire les cartons etc.

- Hoche la tête elle est où ?

Yüna - chez la voisine, elle revient dans une heure normalement.

- D'accord.

Dame de maison - votre beau père est dans l'allée mesdames.

Avec Yüna on se lève pour mettre nos voiles, personnelles je met simplement un Khimar comme je porte déjà une abaya et que c'est simple à mettre. Je redescend pour dire bonjour quand même.

𝐀𝐲𝐞𝐬𝐡𝐚 : « 𝐥'𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞, 𝐝'𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐞𝐮𝐫 𝐦𝐞𝐮𝐫𝐭𝐫𝐢 »Where stories live. Discover now