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Salem Aleykoum 🤍

 Salem Aleykoum 🤍

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Ayesha
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Safiya
Neuf janvier 20**
02 : 37



Je comprenais pas quand on me disait : « oui, quand tu accoucheras tu aimeras encore plus ton enfant que tu l'aimes déjà ». Sachant que ma famille je l'aimais d'un amour inexplicable quand elle était dans mon ventre, puis j'ai directement compris une fois que je l'ai dans mes bras, une fois que j'ai eu ma fille que j'ai porté neuf mois, sans souffrance sans rien !

Elle m'a pas fait vivre un cauchemar mais seulement de la douceur, ça m'arrivait de vomir de temps en temps mais rien d'alarmant, d'avoir des contractions, des choses tout à fait normal mais j'ai jamais souffert comme pas possible. Même mon accouchement a été facilité, elle est sortie très rapidement !

J'ai même pas eu a pousser énormément qu'elle était déjà parmi nous. Je me rend compte que tout les accouchements sont vraiment différent parce que quand je me rappelle de celui de ma mère, c'était pas du tout la même chose. Chaque femme est différente donc, son accouchement sera différent.

Je remercie Allah tout les jours d'avoir mis un homme présent, protecteur dans ma vie. Il a tout suivie du début à la fin, il a jamais raté aucun de mes rendez-vous chez la gynécologue. Il s'est jamais plain de rien pourtant je le faisais bien galérer pour me prendre à manger mais il le faisait sans râler ni rien.

Il m'a énormément aider surtout il a fait en sorte que je me préoccupe pas de mon physique, j'ai dû prendre quelques kilos en plus mais c'est rien d'alarmants ça me dérange pas vraiment. Ce qui me dérange c'est ma poitrine, surtout que maintenant y'a du lait dedans.

Je viens de me réveiller après une longue nuit de sommeil, je me lève doucement et regarde ma fille dormir, elle est si calme...je suis amoureuse d'elle, je sais déjà que ça sera une vrai mini moi, je vais prendre ma douche, je me dépêche un peu pour être là si elle se réveille.

J'ai la chance de savoir m'occuper des enfants donc c'est même pas une surprise, j'ouvre les volets et les rideaux, il fait beau pourtant on est en Janvier. Je me rend pas compte encore qu'hier j'ai accouché, ça m'a fait trop bizarre de dormir sans Yshmel par contre...

Je me suis retrouvé toute seul dans un lieux que je connais pas et heureusement que la fatigue m'a envahi sinon j'aurai passé ma soirée dans le stresse. La porte de la chambre s'ouvre sur lui, il a ramené à manger avec lui pour mon plus gros bonheurs, il pose tout sur les chaises et il me fait un bisou sur le front.

𝐀𝐲𝐞𝐬𝐡𝐚 : « 𝐥'𝐞́𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞, 𝐝'𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐞𝐮𝐫 𝐦𝐞𝐮𝐫𝐭𝐫𝐢 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant