La Vengeance • DRAMIONE

Prologue

Bonjour tout le monde, me revoilà avec un nouveau projet.

Pour commencer, les chapitres seront courts, mais nombreux ! Ce n'est pas dans mes habitudes, mais j'avais envie de faire quelque chose de léger et facile, tout en gardant un suspens constant.

Ensuite, je tiens à vous mette en garde, c'est bien une Dramione, mais il faudra beaucoup de temps à nos protagonistes pour se trouver. N'imaginez donc pas au bout de trois ou quatre chapitres qu'un lien amoureux se tisse déjà.

Si vous avez toujours envie de lire, alors je vous souhaite bonne lecture, et n'hésitez pas à commenter et voter, c'est extraordinairement encourageant pour nous, les auteurs.

Vivre au dessus des lois, voilà quelque chose de bien aisé pour ce jeune homme qui venait de fêter ses vingt ans. Un objectif que même son père n'avait jamais pu atteindre et ce n'était pas faute d'avoir essayé entre corruption, pot de vin et faire parler de son nom.

On l'enviait de sa position insaisissable, on disait "Lui" quand il était au cœur des conversations. On le craignait, mais on croyait en lui. On ne remettait jamais en cause ce qu'il disait. Il avait su se montrer généreux, mais également capricieux.

Que nulle doute qu'il sacrifirait tout pour garder sur nous, le peuple, la majorité, ce qu'on appelait Le Pouvoir.

Ne vous méprenez pas, qu'il soit riche, qu'il soit beau, qu'il soit béni des dieux, il n'avait jamais l'esprit au repos. Toutes actions étaient finement calculées.

Pour certains, il était un véritable ange sur Terre, pour d'autres le diable en Enfer. Aussi saisissable que les vagues d'un océan houleux, que le vent d'une tempête impitoyable.

Pour Lui, tout était possible, sinon d'être réellement heureux. Le pouvoir était, selon lui, plus savoureux que ce qu'on appelait l'amour. Bien plus doux que les atouts des femmes qui lui faisaient la cour.

Lui qui avait de la jeunesse, ne se privait de rien, à hauteur de sa richesse. Et quelle jouissance que de jouir de notre confiance.

Il se moquait bien de demain, il n'avait peur de rien. La peur, c'était Lui.

Quand il intervenait dans la justice, c'était la vertu contre le vice. Il n'y avait pas sur Terre que de satisfaction plus intense.

Il nous observait de sa tour d'Ivoire, comme si nous étions les acteurs d'une pièce de théâtre, et nous applaudissait parfois, félicitant notre audace.

Ses adversaires, qui le méprisaient pour sa réussite qu'il ne méritait pas, il les avait eu à leur propre jeu, leur propre faiblesse. Sauf une...

Ainsi était le Drago Malefoy de la nouvelle époque.

Un prologue très court, je le concède. Mais ce n'est qu'un prologue. Le chapitre 1, que j'ai également posté, sera un peu plus long.