AMOUR D'UN JOUR [Terminé]

chapitre 17

Très tôt, le matin, Neria se leva et se mit à nettoyer partout, elle avait déjà presque terminé, a présent elle était en train de servir le petit-déjeuner quand Zack arriva déjà vêtu de son costume.



Neria le contempla un long moment, il était l'incarnation de la beauté masculine, sans rendre compte elle mis en ordre une mèche imaginaire derrière ses oreilles et sourit bêtement.



-que fais-tu ? dit il de sa voix grave



-le petit-déjeuner, il est bien de manger le matin avant d'aller au boulot. Venez et prenez place monsieur Zack.



-ce n'était pas sur la liste de faire le petit-déjeuner dit il froidement.



- oui j'en conscience, et voilà pourquoi j'ai trouvé cela assez bizarre, c'est toujours bien de commencer la journée le ventre plein dit elle en souriant, venez prendre place. C'est très bon, elle prit un morceau de gâteau et se rapprocha de lui.



- aller ouvrer la bouche,vous ne seriez pas déçu.



Il poussa sa main de côté et le gâteau tomba.



- manger le vous-même, il prit la porte de sortie mais se retourna aussitôt



-si par hasard l'un des employés est au courant de notre cohabitation, vous paierai les conséquences dit il en la menaçant.



Pauvre Neria, elle voulait lui faire plaisir ce matin et repartir sur de bonnes bases, ils allaient vivre désormais ensemble ,a quoi bon être fâchée ? Et de plus c'était une façon à elle de le remercier puisqu'elle n'avait pas grand chose à lui offrir. Elle s'était convaincue qu'au fond, c'était un homme bon, mais hélas. tout de même elle ne se découragea pas et cet avec une bonne humeur qu'elle mangea le petit-déjeuner et s'apprêta pour le travail.



Au travail, la matinée passa rapidement et il était l'heure de la pause, Neria voulu profiter de ce moment pour aller déposer les dossiers et apporter à Zack son déjeuner. Elle arriva et frappa à la porte,ce dernier lui demanda d'entrer.



Il était concentré sur les dossiers qui se trouvait devant lui, Neria sortit le bol de nourriture et le posa doucement sur sa table, Zack leva la tête lentement éperdument surpris.



- il est temps de manger un peu Monsieur, vous n'aviez rien manger depuis ce matin.


Zack fut frappé de surprise par ce comportement inattendu, se souciait t'elle de lui ? Aucune femme n'avait fait cela pour lui par le passé, devait t'il accepté ou repousser ? Des pas se firent entendre et Samuel entra sans frappé comme à son habitude. Il les observa de manière étrange et Neria mal à l'aise de peur qu'il ne soupçonne quelques choses s'excusa auprès deux et sorti


Ses yeux se posèrent sur le bol de nourriture entraînant sur son beau visage un sourire.


-pourquoi j'ai l'impression d'avoir perturbé quelque chose ? En gardant le même sourire



- de quoi est-ce que tu parles rétorqua Zack les yeux rivés sur ses dossiers



- c'est la pause, il faut manger, elle a fait beaucoup d'efforts pour te l'apporter taquinais t'il.



- je n'en veux pas, pourquoi es tu la ?


- il s'agit du projet que tu m'as demandé de trouver, j'ai pu en trouver un, jette un œil dessus.



Zack prit le dossier et Jetta rapidement un œil, il était parfait ce projet. Son frère avait relevé le défi.



- Neria m'a beaucoup aidé sur ce projet, elle m'a apporté beaucoup d'idée que j'ai trouvé intéressant.


Zack essayait de trouver quelle stratégie utiliser pour le retenir de nouveau, il s'apprêta à parler quand Samuel le devança.



- j'ai décidé de rester et travailler, tu n'as plus A t'inquiéter devant père. Je sais que par ma faute ,tu as du beaucoup endurer  vis a vis de père.



Zack trouvait assez louche le changement subit de son petit frère, pour sacrifier son rêve de liberté il devait y avoir une raison,ce n'était pas seulement à cause du comportement de leur père vis a vis de Zack.



- je peux savoir l'origine de ce changement ?


Samuel préféra ne pas répondre, il avait une bonne raison de garder ce secret.



- puisque tu ne veux pas manger, je vais prendre ceci et m'en aller, il faudrait éviter le gaspillage. je voulais juste que tu le saches.



Zack le vit prendre le bol et eut un mal au cœur, mais refusait de montrer son mécontentement jusqu'à ce dont il disparaît de sa vue.



Il jeta le stylo qu'il avait en main et s'adossa sur son siège, son ventre émis un bruit d'un coup et il regrettait amèrement de n'avoir pas accepté plus tôt le bol de nourriture.