M Y F L E S H { kth • jjk }

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      9600 mots... Sorry d'habitude c'est 3500.

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20 juillet 2015:

" - Ah, Kim!

- Hm. "

De longues ondulations excises faisaient chalouper mon corps sur le vieux meuble en bois. Ma tête y reposait alors que mes ongles agrippaient les quelques restes de vernissage de la table.

" - Cambre toi plus. M'ordonna l'homme à mes arrières. T'es trop petit.

- C'est toi qui es trop grand, enfoiré. "

Mais une claque bien placée sur mon arrière-train m'arracha un juron de plaisir. Je me mordis la lèvre et força sur la pointe de mes pieds pour que mon corps soit à la hauteur du boxeur qui me culbutait. Celui-ci, sans préavis, attrapa mes hanches pour mieux me soulever.

" - Hmf! "

Je sentis son membre frayer son chemin à travers mes parois humides sans difficulté, mes dents vinrent emprisonner par la suite les phalanges de ma main pour atténuer mes cris de plaisir. Je me sentais emporter d'avant en arrière sous les coups de reins bestiaux du plus âgé, couinant de plaisir sans pouvoir me contrôler.

C'est dans des aller et venus de plus en plus forts et rapides que nous atteignions le plaisir ultime, la main du plus grand vint se plaquer contre ma bouche alors que sa tête s'était enfouie dans ma nuque. De cette façon, mes gémissements furent atténués par ses doigts et ses grognements par la peau de mon cou qu'il mordit.

L'orgasme passé, il se retira de moi. Nous nous rhabillons silencieusement, regardant l'autre avec un petit sourire malicieux.

" - C'est pas très pratique ce genre de bureau quand même. Fit Taehyung en frappant avec sa chaussure hors de prix le pied de la table.

- Quelle idée de le faire sur le bureau du prof de math aussi? Je me plaignis, regardant autour de moi la classe vide d'élèves.

- Tu te fous de moi? Le déteint me lança un regard indigné. Faut que j'te rappelle qui a eu l'idée peut-être?

- Avoue que baiser sur le bureau de cet enculer en signe de dernier aurevoir c'est stylé quand même. Je répondis en souriant d'amusement.

- Faut savoir ce que tu veux. Ria mon ainé avant de venir se coller à moi, m'aidant à refermer ma chemise blanche miraculeusement non tachée. "

Laissant tout de même deux boutons déliés, il vint caresser l'une de mes clavicules tout en posant sa deuxième main sur ma taille. Instinctivement, nos deux visages se rapprochèrent et nos yeux se fermèrent. Ses lippes vinrent voler les miennes en les happant sensuellement. Mes mains emprisonnèrent ses joues creusent en leur creux avant que je n'appuie d'avantage mes lèvres contre les siennes.

C'est de cette façon que nous étions repartis pour un nouveau tour.

" - On peut essayer une autre position. Fis-je entre deux baisés, soufflant ces quelques mots sur sa bouche avide de luxure. Ça t'évitera de me reprocher de ne pas être à ta taille.

- Tu te trompes. Il descendit soudainement capturer la peau sensible de ma mâchoire entre ses dents. Tu es à ma taille, c'est cette table qui ne l'est pas.