Ceci n'est pas une histoire romantique et complètement niaise sortie d'un roman à l'eau de rose. On peut s'y perdre, succomber à la tentation du mal, à même changer sa moralité. Nous voulons toujours voir le bien dans les héros de nos personnages, n...
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❝ Sometimes we need to choose, in order to change things ❞
⚜️
Lys marcha dans un couloir avec son coéquipier jusqu'à ce que les hommes du clan russe les emmène vers leur patronne. Ils entendirent de loin des cris collectifs marquant l'hostilité, des hommes et des femmes étaient rassemblés comme une foule, semblables à se trouver dans une arène. La curiosité des deux personnages apparut en eux et ils se considérèrent mutuellement afin de comprendre ce qu'il se passait. Plus ils avançaient, plus ils se rapprochaient de cette sorte de ring formés par ces gens extasiés. Et quand ils se frayèrent un chemin tout en poussant les individus qui leur faisaient obstacle, ils virent une femme se battre avec deux genres qui l'attaquaient en même temps.
Cette personne courut vers un homme et de dos, elle se jeta sur lui pour attraper son bassin avec ses jambes, le renversant en avant tout en maintenant la cheville du gars, afin de se relever et lui fourrer son coup de pied dans la figure. Elle fit une rotation sur le côté, ayant sa jambe entre les cuisses pour le retourner sur le ventre et lui tordre légèrement son articulation. Une adversaire s'élança sur elle, cette dernière riposta en bloquant le bras des siens qu'elle avait croisés avant de lui foutre deux coups de poings d'affilée dans la figure, ce qui mit la victime en retrait, dont le sang coula.
Les ennemis, comme des sauvages, sautèrent sur elle, alors elle attrapa le bras d'un des types qu'elle tordit violemment, foutant un coup de pied dans le torse du second qui voulait la prendre à l'assaut, puis elle abaissa le premier au sol pour cogner son visage contre son genou avant de donner un coup d'avant-bras dans la figure de l'autre. Elle courut vers le suivant en se soulevant dans l'air d'un saut pour asséner un coup de chaussure dans son cou. Et ainsi, sans qu'elle puisse respirer, les personnages l'entourant furent en quelques instants à terre.
La femme qui les avait tous achevés haleta intensément en gardant les poings à la hauteur de sa poitrine, admirant son massacre. Les gémissements de douleur se propagèrent autour, les blessés souffraient atrocement, tout en étant allongés au sol à se plaindre lamentablement.
