❛ 𝐂𝐇𝐀𝐏𝐓𝐄𝐑 𝟒𝟒 ❜

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Q U A T R E A N S
P L U S T A R D

Dans la ville de Shanghai, les lumières fluorescentes des buildings embrasaient le paysage. Et dans les avenues de cette agglomération reflétant les nuances des néons, un véhicule arriva à destination pour se garer près d'un établissement. Il était imbu de quitam, ne pouvant s'empêcher d'aller goûter au nectar des dieux. La portière de la voiture s'ouvrit grandement, et de belles jambes sortirent de cette dernière pour toucher le sol, qui vibra au contact de cette créature aux courbes félines. La jeune femme marcha jusqu'à l'entrée, ses prunelles aperçurent le vigie qui contrôlait les clients se tenant en queue. Au contact de ses yeux, l'homme se dépêcha de détacher la corde du poteau pour la laisser s'engouffrer dans un monde prohibé.

Le bruit des talons qui cognaient contre les escaliers se fondit avec la tonalité des enceintes, se déversant dans toute la salle, l'envoûtement d'un ensemble de productions musicales. À son passage fastueux, une émanation de son parfum, rassemblant à la plante de jasmin d'Inde et la sulfureuse tubéreuse, faisait naître une attraction brûlante chez celui qui se faisait piéger par son odorat. Ils se délectaient inconsciemment de l'effluve délicieuse qui la caressait. Et cette chevelure blanchâtre soulignant la majestuosité des fleurs de lys, cette silhouette sculptée par le meilleur artiste de l'univers, elles ne laissaient indifférentes aucun regard.

      Le tissu noir qui enlaçait ses parties les plus enfiévrantes accentuait sa provocation. Elle était une pulsation charnelle face à ceux qui sentaient ne serait-ce que ses yeux les scruter, étant défendue d'être touchée. L'ensemble de la vue sur ces adeptes de la volupté était enivrante ; les corps se rencontraient pour mettre en concordance les mouvements de pas. Les mains baladeuses et impatientes palpaient tout ce qui pouvait être dodu. La demoiselle repéra chez certains une sensualité et chez d'autres une divagation de l'esprit. Il ne fallait pas allumer le chauffage, l'effervescence se percevait à la masse de consommateurs, qui venaient assouvir leur boulimie.

𝐓𝐇𝐄 𝐌𝐄𝐍 | 𝑘.𝑡𝘩Où les histoires vivent. Découvrez maintenant