Ceci n'est pas une histoire romantique et complètement niaise sortie d'un roman à l'eau de rose. On peut s'y perdre, succomber à la tentation du mal, à même changer sa moralité. Nous voulons toujours voir le bien dans les héros de nos personnages, n...
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❝ The game can begin ❞
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𝐋𝐀 𝐏𝐄̀𝐆𝐑𝐄. C'était une communauté agissant dans l'ombre d'une vaste unité urbaine ; une structure humaine constituée de plusieurs personnes respectant les ordres d'un chef ou d'un comité de direction, pour faire des profits illicites par des méthodes illégales et immorales. Les marchés noirs s'accroissaient de manière très importante dans les régions, où la débauche était le plus souvent révérée par les citadins et certains de ses fonctionnaires. Les principaux acteurs dans le milieu des truands étaient aujourd'hui des individus puissants et influants, qu'ils soient des figures politique, publiques, menant des contrebandes d'armes de destruction massive, des drogues, des trafics de marchandises d'humains à des fins d'esclavage, de prostitution, d'organes et du vol des biens de la société.
Cette culture était vénérée par les malfaiteurs, qui composaient la plupart des organisations criminelles dans le monde. La majeure partie des activités criminelles se déroulait dans les capitales des agglomérations, et ses bas-fonds les plus vicieux, dont des hommes étaient éparpillés à chaque coin, même au sein d'une fédération, usurpant des identités. Ce milieu truffé de scélérats était soumis par une masse de mercenaires et de tueurs, il était chapeauté par des leaders constituant de petits clans, tels une toile d'araignée.
Des réseaux s'imposaient, tels que l'𝐄𝐌𝐏𝐈𝐑𝐄,mafia coréenne ; la 𝐓𝐑𝐈𝐀𝐃𝐄, mafia chinoise ; les 𝐘𝐀𝐊𝐔𝐙𝐀, mafia japonaise ; les 𝐁𝐑𝐀𝐓𝐕𝐀, mafia russe ; la 𝐂𝐎𝐒𝐀 𝐍𝐎𝐓𝐑𝐀, mafia sicilienne, ou l'une des plus grandes légendes, le 𝐆𝐎𝐋𝐃𝐄𝐍 𝐈𝐌𝐏𝐄𝐑𝐈𝐀𝐋, mafia fantôme, ainsi que de nombreux groupes, qui étaient grandement impliqués dans son hypertrophie transcendante, répandant ses racines venimeuses sur les frontières des pays. Les forces de l'ordre essayaient de maintenir une barrière, mais la corruption se faisait nourrir par la cupidité de l'être humain, dominé par la tentation.
L'homme le plus influent dans la Pègre coréenne - sans parler de ses succès auprès des autres états asiatiques qui ne faisaient que ses éloges - était un génie. Il profanait des convictions pour parvenir à faire prospérer son obnubilation au pouvoir. Ses actions d'éclats distinguées se mouvaient entre les lèvres. La presse ne restait point indifférente, imprimant dans les médias le moindre signe de vie qu'il représentait sous un pseudonyme régenteur. Ses confrères le glorifiaient, par respect et d'autres de crainte, sous l'aspect d'un Dieu connu dans les ouvrages mythiques.
