CHAPITRE LXII.

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OXFORD 2028.
MACKENZIE.

« Quand je suis loin de toi
Je suis plus heureuse que jamais
J'aimerai pouvoir mieux l'expliquer
J'aimerai que ce ne soit pas vrai. »

( N'oubliez pas, lorsque les dialogues sont en italiques, c'est que les personnages parlent en anglais, bonne lecture ! )

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( N'oubliez pas, lorsque les dialogues sont en italiques, c'est que les personnages parlent en anglais, bonne lecture ! )

Je ferme la porte de ma salle de classe et presse le pas jusqu'à la sortie, mes yeux croisent directement la Jeep noire garée en face de l'entrée et je me mords les lèvres jusqu'au sang avant de trottiner vers celle-ci. Je rentre côté passager et le brun aux cheveux mi-longs m'embrasse la joue.

Tu vas bien ?

Oui super, merci beaucoup d'être venu, désolé encore pour ma panne...

Il sourie d'un air qui me fait comprendre qu'il sait que je m'enfonce dans mon mensonge et je rougis avant de regarder le paysage qui défile. Ce matin, j'ai appelé Aaron en faussant une urgence, comme quoi ma voiture était en panne et je voulais donc savoir si il était possible pour lui de venir me chercher, il avait bien évidemment accepté, mais au final, lorsque dans la voiture il m'avait demandé ce qu'il s'était passé et si j'avais besoin d'un mécanicien, je m'étais clairement faite cramée. M'enfin, il le prend bien, c'est le principal.

Pas de soucis, t'es sûre que tu veux pas qu'on appelle quelqu'un ?

Non c'est bon, à part si tu t'y connais toi ? je dis.

Il hausse un sourcil et se met à rire.

Sérieusement Mackenzie, t'as trop d'audace.

Je me mets à rire à mon tour et il secoue la tête avant de passer la vitesse et de poser sa main contre ma cuisse. Ma respiration se coupe et je le fixe avant de sourire bêtement. Ma main se pose au dessus de la sienne et je caresse sa paume.

Comment va Iris ?

— Ça va, elle est chez mes grands parents pour ce week-end.

— Sympa...

— Oui... Mise à part le fait que je me retrouve toute seule avec Flynn du coup.

— Quel dommage... il dit faussement déçu.

Vraiment... je renchéris.

[...]

Les lèvres du brun dévorent la peau de mon cou et je gémis en tirant ses cheveux, j'entrouvre la bouche lorsque son bassin se colle au mien et tout se passe si vite, nos vêtements se retrouvent au sol, son regard me demande l'autorisation et je pousse un cri aigüe lorsqu'il entre enfin en moi après s'être protégé. Je ferme les yeux pour m'habituer à la présence de ce corps inconnu et je me détends très vite lorsque ses baisers fiévreux viennent augmenter la température entre nos deux corps. Ses coups de reins se font naturellement, il ondule contre moi et je ne peux plus retenir mes gémissements à mesure que mes muscles se relâchent.

Kenzie | PLKWhere stories live. Discover now