CHAPITRE LXXVII.

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QUATORZIÈME ARRONDISSEMENT, PARIS,2031.

  Je donne la permission aux enfants de partir déjeuner, en leurs rappelant de se laver les mains et je reçois un coup de fil, je décroche en fermant la porte de la salle de classe

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  Je donne la permission aux enfants de partir déjeuner, en leurs rappelant de se laver les mains et je reçois un coup de fil, je décroche en fermant la porte de la salle de classe. Mes talons claquent dans le couloir que je traverse jusqu'à rejoindre mon bureau.

— Bonjour Fanny, j'attendais ton appel ! je dis enjouée.

— Bonjour Mackenzie, j'ai une bonne nouvelle, j'ai eu le directeur du centre qui m'a confirmé que l'école et l'association pouvait collaborer.

Je mets ma collègue en haut parleur et sourie de toutes mes dents avant d'allumer mon ordinateur et de vérifier mes mails.

— Super, est-ce qu'il voudrait prendre rendez vous ? Peut être qu'il pourrait faire venir visiter l'école aux enfants, sait-on jamais si ils veulent s'inscrire ici.

— Il est disponible cette après-midi, il m'a dit qu'il préférait déjà un rendez vous avec toi en tant que directrice et ensuite il parlerait aux enseignants.

— Ça me va, quelle heure ?

— Quatorze, Elodie peut prendre ta classe si besoin.

— Ce serait sympa, on viendra sûrement rendre visite à la classe en cours de route, merci Fanny.

— Pas de soucis, tiens moi au courant !

— À plus tard.

Je raccroche et entame mon déjeuner devant mes mails. Mon téléphone se met à vibrer une nouvelle fois et je l'attrape de ma main droite. Mon regard reste bloqué sur les diamants de ma bague qui scintillent grâce aux reflets du soleil et je sourie niaisement.

C'est d'ailleurs mon blond qui m'apelle en FaceTime et je réponds de suite.

— Salut mon amour, je lui dis.

Je le vois bouger le téléphone et le poser contre le mur de la cuisine tandis qu'il a l'air de faire à manger.

— Salut mon coeur, ça va ?

— Oui moi ça va super, et toi ?

Il lèche la cuillère avec laquelle il a mélangé sa sauce tomate et je me mords les lèvres tant ce geste et sensuel à mon goût. Un rien me rend accro à lui et ses gestes sont devenus bien plus sensuels et charmants depuis qu'il m'a passé la bague au doigt. D'ailleurs, je ne manque pas de lui rappeler chaque matin que l'on est fiancé et il râle aussi chaque matin lorsque je lui montre fièrement la bague, comme si il n'avait pas été celui qui l'avait conçu.

Kenzie | PLKKde žijí příběhy. Začni objevovat